Durée de vie des CD et DVD gravés …

Posted on janvier 20th, 2009 in Informatique by obi3fr

Vingt milliards de disques optiques gravés chaque année, et moi et moi et moi… Une poignée de et de dorment paisiblement dans mon tiroir, en attendant qu’on les réveille. Mais seront-ils toujours lisibles dans quelques années ? Les fabricants se veulent rassurants. Les pochettes de -R mentionnent l’indication Lifetime (dure toute la vie). Les notices de DVD±R vantent leur longévité de 100 ans, voire 200 ans.

Une véritable hypocrisie. Ces estimations sont basées sur des lois de vieillissement auxquelles « on ne peut absolument pas faire confiance », révèle Jacques Perdereau, chercheur au Laboratoire national de métrologie et d’essais (LNE).

Au bout de 3 ans, 15 % des CD-R sont illisibles

Aucun disque optique ne vivra 200 ans. « D’après nos tests, les CD-R tiennent entre neuf mois et quelques dizaines d’années, révèle Jacques Perdereau. Les DVD affichent désormais des longévités proches. Nous réalisons régulièrement des études pour divers établissements publics. De 2000 à 2003, nous avons surveillé 60 références de CD-R. Au bout de trois ans, 15 % étaient illisibles. »
Très inquiétant ! Seuls les bons CD-R passent donc le cap des dix ans. Comment les repérer ? C’est quasiment impossible pour le grand public. Aucune marque n’est parfaitement fiable. D’une année sur l’autre, la qualité des disques varie. D’un magasin à l’autre, la même référence de CD-R ne sort pas forcément de la même usine. Sur Internet, quelques passionnés traquent les disques les plus durables, une chasse complexe.
Mais il y a pire. La qualité d’un disque dépend du graveur. Certains DVD±R ont une durabilité exceptionnelle quand ils ont été enregistrés avec un graveur A, alors que ce n’est pas le cas avec un graveur B. Les professionnels de l’archivage optent pour des graveurs qui se marient bien avec leurs disques. Pour choisir, ils réalisent des tests poussés. Le grand public n’en a ni le temps, ni les moyens.
Monsieur Tout-le-Monde restera dans le brouillard le plus total. Toutefois, quelques règles strictes permettent d’éviter les catastrophes. Par exemple, on peut graver chaque disque en double, sur deux supports de marque différente et préférer les graveurs récents aux graveurs vieillissants. Autre astuce : choisir la vitesse de gravure avec soin. « Une attitude prudente peut consister à diviser par deux la vitesse maximale annoncée par le fabricant du disque », conseille Jean-Marc Fontaine, chercheur au CNRS, et expert en disques optiques du ministère de la Culture.

Vérifiez l’état de vos CD tous les ans

Mieux vaut aussi opter pour des disques de marque : les disques génériques durent, en moyenne, moins longtemps. Il faut de préférence les entreposer avec soin dans deux endroits différents. Et une fois par an, sortir tous les disques, les contrôler un par un, repérer ceux qui sont devenus illisibles, et ceux que votre graveur lit avec difficulté. Tous devront être regravés, à partir de l’original. En deux exemplaires bien entendu.
Heureusement, la plupart des CD tiendront quelques années avant de marquer des signes de faiblesse. Fastidieux ? Assommant ? Certes, mais c’est l’unique solution pour conserver vos données sans risques. Pour, dans une ou deux générations, les montrer à vos proches. La boîte à chaussures bourrée de souvenirs, c’était quand même moins compliqué !

Source 01Net

« L’homo-informaticus » souffre d’un mal hors du commun, le black-out…

Posted on mars 20th, 2008 in Informatique,News by obi3fr

Les abonnés aux offres plafonnées à 29,90 euros connaissent bien le problème. Il faut dire que les symptômes sont nombreux.

Tremblements de la main droite, cliquetis nerveux de l’index dans le vide, acouphènes musicaux chantant la rengaine des hotlines, souffle coupé, regard clignotant comme les LEDS qui prouvent l’activité du modem… Eh oui, ironie de l’histoire, l’accro de la toile peut rapidement « péter un câble ».

L’addiction au Web est un problème qui amuse beaucoup les scientifiques. De nombreux journaux spécialisés se moquent même du phénomène.

Pourtant, les entreprises et les particuliers reconnaissent que certaines personnes ont besoin de se connecter, même un instant.

Au risque, en cas de panne de voir certains salariés plonger dans la dépression et déambuler dans les couloirs en murmurant comme des zombies des refrains « ringtonisés. »

Aux États-Unis le problème est étudié très sérieusement, et un cabinet d’études vient même de trouver un nom à cette dépendance : la disconnect anxiety ou en français l’angoisse de la déconnexion.

Selon le cabinet Solutions Research Group, le problème n’est pas si rare. SRG estime en effet que 27% de la population souffre de ce problème, tant en ce qui concerne le téléphone mobile que l’Internet. Enfin, 41 % des sondés sont occasionnellement « angoissés » par la possibilité d’un black-out total.

Attention, ces résultats ne concernent pas les personnes de plus de 50 ans, car ces dernières ne sont que trop rarement dépendantes des moyens de communication. D’après SRG, l’angoisse se manifeste différemment selon les âges.

Les adultes actifs craignent de perdre leur emploi ou la santé tandis que pour les jeunes, la principale source d’angoisse est de ne plus être en contact avec sa bande.

http://www.silicon.fr


Une canette et du Wi-Fi : un mariage étonnant

Posted on novembre 24th, 2007 in Informatique by obi3fr

Votre réseau sans-fil Wi-Fi est lent ?Il existe une solution :boire des canettes.

Il suffit d’une canette en aluminium et d’une pince coupante. Une
vidéo explique bien la manipulation, qui semble simple. Est-ce efficace ?
Peut-être :-)


Ou télécharger des logiciels ?

Posted on mai 27th, 2007 in Favoris,Logiciels by obi3fr

… en toute confiance …
-Clubic
-Framasoft : le meilleur site francophone de libres
-Telecharger.com

Evitez les téléchargements de logiciels au hasard (genre la 1ère page donnée par une recherche sur Google), vous risquez de tomber sur des sites vous faisant payer des logiciels gratuits :-)


Conclusion sur la sécurité

Posted on mai 27th, 2007 in Sécurité by obi3fr

Soyez Méfiant…
Pour conclure ce guide, le mot de la fin est : Méfiance !
Ces protections ne vous mettent pas à l’abri de tout, en effet, bien souvent un PC est infecté car l’utilisateur lui-même commet des erreurs. Soyez donc vigilant, avec les fichiers transmis par vos amis (ils le sont peut-être à leur insu), aux sites sur lesquels vous vous rendez, aux fichiers que vous téléchargez, …
Vous devez impérativement apprendre des gestes simples, tout comme vos parents vous ont appris à regarder avant de traverser une rue, même si votre feu est vert…

Mettez à jour…
Tout comme votre système d’exploitation, les d’antivirus, d’anti-espions et de pare-feu sont mis à jour régulièrement par leur éditeur. Par conséquent, n’oubliez surtout pas d’effectuer ces mises à jour, sans quoi, les nouvelles menaces pourront vous affecter.

Soyez prévenant…
Un PC n’étant jamais 100% sécurisé, l’expression « mieux vaut prévenir que guérir » est à prendre en considération avec la plus grande importance.
Si vous ne prenez pas en compte ces 4 précautions primordiales, votre PC a de fortes chances d’être infecté en seulement quelques minutes une fois qu’il sera connecté à Internet…


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