Au revoir Nabaztag, bonjour Karotz

Posted on mai 5th, 2010 in Nabaztag by obi3fr

Le lapin , un produit français qui a eu beaucoup de succès dans le monde, va changer de nom. Après le rachat de Violet par Mindscape, le développement du lapin Wi-Fi n’a pas été arrêté et une version 3 devrait sortir cette année. Point intéressant, le nom Nabaztag (signifiant lapin en arménien) serait abandonné et l’appareil porterait le nom de Karotz, plus compréhensible pour de nombreux marchés.

Le Karotz garde le même design (apprécié et primé de nombreuses fois) mais ajoute quelques fonctions. Une webcam fait son apparition dans le nombril de l’appareil et deux ports USB sont aussi de la partie : une prise de type A, pour recevoir des périphériques, et une autre de type mini-B, pour a priori relier l’appareil à un PC. Le Wi-Fi est amélioré (prise en charge de la version 11n ?) et le lecteur RFID aussi. Le micro passe du nombril à la tête, le haut-parleur (médiocre sur les versions actuelles) est amélioré et les oreilles continuent évidemment à bouger.

Pas de prix ni de date de sortie annoncée.

Source Tom’s hardware


Votre décodeur TNT bientôt obsolète ?

Posted on février 23rd, 2010 in Media by obi3fr

Et si le 5 mai prochain, votre décodeur TNT s’arrêtait tout simplement de fonctionner ? Ce scénario n’a rien de fantaisiste et pourrait toucher un grand nombre de décodeurs actuellement en circulation.

C’est le magazine Que Choisir qui a révélé l’information. Selon une source proche du dossier que nous avons jointe par téléphone, c’est en fait le NIT (Network Information Table) qui pose problème. Cette table, prévue par le système DVB-SI (Digital Video Broadcast Service Information), contient toutes les données techniques relatives à la réception et à la reconnaissance des programmes transmis par les récepteurs. Or cette dernière est pleine à 90%. Conséquence : l’obligation d’ajouter au signal TNT une seconde page d’index à cette table, en vue d’accueillir les futures chaînes qui devraient pointer le bout de leur nez d’ici 2012.

Et c’est là que le problème survient. Car la norme DVB-SI ne spécifiant pas la prise en charge de cette seconde page de la NIT, les constructeurs n’ont pas tous équipé leur matériel en conséquence, n’y étant pas obligés. En d’autres termes, votre décodeur TNT pourrait ne voir que la première ou la seconde plage de chaînes, recevoir des signaux non numérotés ou encore, dans de rares cas, ne plus fonctionner du tout. Ironie de l’histoire, alors que la législation impose la présence d’un décodeur TNT au sein des téléviseurs depuis mars 2008, ces derniers pourraient également être atteints. Le problème se manifestera dès lors que l’utilisateur effectuera une recherche automatique ou manuelle des chaînes, manipulation qui sera de toute façon nécessaire à l’extinction du signal hertzien, le 30 novembre 2011 au plus tard.

C’est le 2 février dernier, jour de l’arrêt du signal hertzien en Alsace, que cette modification sur le NIT devait avoir lieu. Ce n’est que sous la pression des groupes audiovisuels comme TF1 ou M6 que la procédure a été repoussée au 5 mai, afin de mieux évaluer les risques liés à cette modification. Une date qui n’est toutefois pas encore définitivement arrêtée.

Les éditeurs souhaiteraient en effet que s’organise une table ronde autour de laquelle services publics (CSA et DGCCRF en tête), éditeurs et constructeurs pourraient discuter d’une certification à mettre en place afin de s’assurer qu’un minimum de français ne soit touché par la modification du signal TNT. Ce laps de temps permettrait également la mise en place d’un éventuel plan de communication, mais aussi et surtout le renouvellement « naturel » du parc de décodeur TNT. L’une des propositions faites pour gagner ce temps supplémentaire serait de supprimer les références aux antennes régionales de France 3 afin d’alléger la table. Une solution radicale et à court terme qui rappelle le manque de préparation de cette opération.

Car à l’heure actuelle et si la modification a effectivement lieu le 5 mai (ce qui semble pour l’instant être l’avis du CSA), ce sont entre 300 000 et 500 000 appareils qui seraient concernés… mais peut être plus ou peut être moins, personne ne peut réellement le dire. Un flou artistique relativement étonnant lorsque l’on sait que les instances publiques ont pris conscience du problème dès 2007, avertissant les constructeurs sans toutefois imposer de modifications matérielles.

A l’heure où le gouvernement tente de rassurer les Français quant au passage au tout-numérique à grand renfort de publicité, les chargés de communication risquent d’avoir du travail supplémentaire…

Source Clubic

MAJ du 04/03/2010 : le CSA annonce avoir trouvé une parade technique. A lire sur Freenews.


Ouf ! Violet et son Nabaztag ont trouvé un repreneur

Posted on octobre 21st, 2009 in Nabaztag by obi3fr

Bonne nouvelle pour les possesseurs d’un . En difficulté depuis le mois de juillet dernier, la société Violet, conceptrice du célèbre lapin Wifi, a enfin trouvé un repreneur. Il s’agît de Mindscape, jusqu’à présent spécialisée dans l’édition de jeux videos avec des titres comme Adibou, le Lapin Malin, Adi ou encore Carmen Sendiego.

« Les objets connectés, communicants, interactifs deviennent des media centers qui relient tous les univers du jeu : les communautés, les portails, les livres interactifs, le jeu proprement dit. Le line up 2010 de Mindscape sera très représentatif de cette nouvelle tendance qui vise à multiplier toutes les formes d’interactivité avec les plateformes de jeu.  » explique le groupe pour justifier cette opération.

Père du Nabaztag, Rafi Haladjian devrait pour sa part poursuivre ses projets avec une nouvelle société baptisée Sen.Se. « Le problème de l’internet des objets, ce sont les objets » nous expliquait récemment ce dernier, visiblement bien décidé à se limiter désormais aux logiciels et aux services en ligne.

Source Clubic

Allez tiens, pour fêter ça, profitez-en pour faire parler mon lapin (c’est en haut à droite ;-) )


Comment (encore) télécharger sans risques …

Posted on mars 16th, 2009 in Informatique,Sécurité by obi3fr

MAJ : article du 12 mai 2009 encore plus complet :-)

En juin 2008, j’avais repris un article qui expliquait tranquillement comment télécharger sans risque au moment où notre chère Christine Albanel proposait son projet de loi «Création et Internet» contre le téléchargement … Quelques mois plus tard, en plein débat sur l’ circulent encore des articles comme celui qui suit, extrait du blog de Kysban.

13 solutions de illégal oubliées par l’HADOPI

Préambule : cet article n’a absolument aucune vocation à inciter qui que ce soit au téléchargement illégal.

Son but est simplement de rappeler que :

- Les solutions de téléchargement légal ne sont pas du tout adaptées à la demande en terme de prix, de diversité, de qualité ou de fiabilité (à ce sujet, lire mon article intitulé « État des lieux des offres de téléchargement légal en France« )

- les dirigeants des majors ne font preuve d’aucun réalisme et entretiennent la propagande en s’appuyant sur des thèses fortement discutables

- il existe d’innombrables sites utilisant des protocoles aussi variées que non contrôlables par l’HADOPI (qui se contentera de placer des radars exclusivement sur les plates-formes traditionnelles de )

- la plupart de nos politiques savent à peine se servir d’une souris (Christine Albanel et Frédéric Lefebvre nous le rappellent régulièrement lors de leurs interventions publiques)

- à court terme le téléchargement illégal occasionnel sera sans doute enrayé, tandis que les internautes responsables du téléchargement illégal de masse auront depuis longtemps adopté des solutions plus sécurisées

Je tiens par ailleurs à signaler que ces solutions s’inscrivent toutes dans un cadre juridique parfaitement légal. Mais s’il est autorisé d’y échanger des fichiers libres de droit, il est en revanche évidemment interdit d’y échanger des fichiers protégés par les droits d’auteur.

Ne perdez jamais de vue que le téléchargement illégal est… illégal.

Passées ces précautions d’usage, voici donc les 13 solutions qui rendent le projet de loi Création et Internet (HADOPI) caduque avant même que celui-ci n’ait été voté. Si la plupart de ces solutions sont faciles d’accès (voire même carrément triviales pour certaines), d’autres se révèlent un peu plus complexe à maîtriser, mais en définitive, rien qui ne soit vraiment insurmontable pour qui sait configurer un client P2P.

1. Les échanges physiques : on oublie souvent qu’avant le P2P ou même l’avènement d’Internet (milieu des années 90), on s’échangeait déjà des fichiers, des jeux, des morceaux de musique : la cassette et la disquette étaient les supports adaptés à ce type d’échange « de la main à la main ». Aujourd’hui, les moyens d’échange physique se sont diversifiés : clé USB, CD ROM, DVD ROM, disque dur, SD Card, Compact Flash… Leur point commun ? Tous ces supports ont vu leur prix s’envoler au profit d’une taxe destinée à renflouer les caisses des « ayant droits ». Vos CD vierges ne vous servent qu’à stocker des photos personnelles ? Les majors n’en ont que faire : aussi, donnez leur raison et amortissez votre investissement en échangeant vos MP3 et autres divX par ce biais.

2. Le streaming : même si les majors veillent au grain, même si Luc Besson et Frédéric Lefebvre stigmatisent le streaming comme étant le mal incarné, Youtube, DailyMotion ou Vimeo regorgent encore d’un large choix de vidéos et de musiques accessibles librement. Quelques outils permettant de télécharger tout ce matériel ont vu le jour : Streamget vous permet de sauvegarder n’importe quelle video issue d’un site de streaming, ClipToMP3 se propose de créer des listes de MP3 téléchargeables à partir de Youtube et Dailymotion, et Clickster propose la même chose à partir de Shoutcast et MySpace.

3. Les FAI fournissant une IP dynamique : tout ordinateur ou réseau relié à Internet possède une adresse IP attribuée par son Fournisseur d’Accès Internet. Aujourd’hui, dans la plupart des cas, cette adresse IP est fixe (notamment chez Free et les opérateurs câblés). Mais certains FAI comme Orange continuent à fournir une adresse IP dynamique, c’est à dire une adresse IP fluctuante. Or le texte du projet de loi Création et Internet est clair sur ce point : il prévoit d’identifier les «  » à partir de leur adresse IP. Si cette dernière change toutes les 24 heures, la collecte se révèle bien plus complexe (et pour d’autres raisons aussi).

4. Les hébergeurs de fichiers (ou « téléchargement direct ») : Rapidshare, MegaUpload, Sendspace, Mediafire… Basés dans le monde entier, ces sites sont pour la plupart capables d’héberger des fichiers de 100 Mo. D’une manipulation on ne peut plus simple, il suffit de trouver un lien correspondant à ce qu’on recherche et de cliquer dessus. S’il s’agit d’un film, une série d’une dizaine de liens devraient suffire. Ces liens échangés sur de nombreux blogs et forums sont facilement trouvables : par exemple, l’occurrence « Megaupload Bienvenue chez les chtis » renvoie à plus de 30000 sites sur Google.

5. Les serveurs d’archive d’entreprise : ce type de serveur existe pratiquement dans n’importe quelle entreprise. Or, s’il est mal sécurisé (comme c’est trop souvent le cas), il peut être détecté par des logiciels conçus pour (des sniffers) et exploités en tant qu’espace de stockage, comme un compte FTP.

6. Les forums d’échange auxquels on accède par cooptation : existant depuis de nombreuses années, ce type de forum fonctionne en vase clos et ne valide l’inscription d’un nouveau membre que s’il n’a été invité par un autre membre. Les échanges peuvent s’effectuer via un serveur privé, le téléchargement direct ou les serveurs d’archive d’entreprise.

7. Le peer-to-peer crypté : en réponse aux différentes lois contre le téléchargement P2P, des réseaux sécurisés ont été créés sur lesquels il est impossible de recueillir les adresses IP des utilisateurs. Comme ces données sont cryptés, il est de toute façon également impossible de savoir à priori le titre et le contenu des fichiers échangés. Ces réseaux dits de « troisième génération » sont donc totalement anonymes et s’appellent par exemple ANts ou MUTE.

8. Les réseaux cryptés : conçus dans le même esprit que les réseaux P2P cryptés, ils se nomment Freenet ou Darknet et ne se contentent plus de faire du P2P, mais proposent du même coup des solutions d’email et web 100% sécurisées. Pour le moment relativement lents, les performances de ce type de réseau devraient littéralement exploser avec le passage de la loi HADOPI.

9. Les newsgroups : moins connus du grand public, les newsgroups sont des forums le plus souvent payants permettant l’échange de fichier à très haute vitesse. Giganews est un des plus connus d’entre eux et propose une formule de téléchargement illimité, crypté et modulable (10 €/mois pour 35 Go de download). Avec ce type de service, ne touche-t-on pas subitement à un point plus problématique de la « piraterie » organisée sur Internet ? En effet, on constate que les internautes seraient prêts à payer un abonnement mensuel pour télécharger à volonté. Pourtant, le principe même d’une « licence globale » est éliminée d’emblée par le lobby français des majors (le point de vue de la Norvège est différent).

10. Les proxys cryptés : un proxy est un serveur informatique qui a pour fonction de relayer des requêtes entre un poste client et un serveur. Certains de ces serveurs sont dits « anonymes » : ils sont capables de transformer votre adresse IP en une adresse anonyme. Ainsi vous disposez d’une connexion sécurisée et cryptée entre votre ordinateur et Internet. Le service suédois Relakks.com est un exemple parfait de ce type de service. Comptez 5 € par mois ou 45 € par an pour en profiter.

11. Les réseaux WIFI publics ou mal sécurisés : il est malheureusement à la portée de tout un chacun de constater le degré de sécurisation d’un réseau WIFI. Votre ordinateur portable et votre téléphone mobile (s’ils ne sont pas trop ancien) sont capables de vous indiquer en quelques secondes si les réseaux sans fil de votre périmètre sont sécurisés ou pas. Installez vous dans un Mac Do et vous pourrez profiter d’un réseau correct, quoique probablement un peu trop lent pour le téléchargement. Et au sujet de votre voisin de pallier ayant innocemment configuré sa box en WEP, je suis sûr que vous aurez la prévenance de lui montrer plutôt comment la configurer en WPA.

12. Le téléchargement sur IRC par XDCC : XDCC désigne un procédé de partage de fichier via un bot IRC. Les fichiers sont généralement volumineux et sont téléchargeables par le biais du protocole DCC. Cette méthode de téléchargement voit sa popularité grandir ces derniers temps, aux dépens notamment des newsgroups : en effet, les serveurs XDCC sont souvent hébergés par des connexions extrêmement rapides, dépassant les 100 Mbits/s.

13. Les Seedboxs : une Seedbox est une sorte de serveur, dédié exclusivement au téléchargement bittorrent et équipé d’une connexion haut débit. Le serveur se charge de récupérer vos fichiers via Bittorent, puis vous pouvez les récupérer en téléchargement direct. Avec un tel serveur, vous n’êtes plus tributaire des contraintes de votre Fournisseur d’Accès Internet et le téléchargement se veut encore plus sécurisé. Le prix de la location d’un tel serveur dépend exclusivement de la capacité de stockage que vous souhaitez : comptez environ 1$ par Go et par mois. Deux services parmi d’autres : wewillhostit.com et seedboxhosting.com.

Source Kysban

Seul petit bémol à cet article assez complet, le point 3 qui concerne les ip dynamiques : les fai sont effectivement obligés de garder trace de l’ip d’un internaute en fonction de la date et l’heure …
Cependant l’adresse ip ne sera probablement pas suffisante pour prouver le téléchargement (à lire sur ce sujet)


Nouveau record pour les SMS à Noël et au Nouvel An

Posted on décembre 30th, 2008 in Marketing,News by obi3fr

Plus de 300 millions de SMS devraient être envoyés en France le 1er janvier. Les désormais traditionnels textos de «bonne année» seront de nouveau au rendez-vous le 1er janvier à minuit. Les opérateurs téléphoniques s’attendent d’ailleurs à un nouveau record: plus de 300 millions de SMS devraient être envoyés en France à cette date.

Soit environ 50 millions de plus que le 1er janvier 2008 où 252 millions messages s’étaient télescopés: 115 millions avaient été envoyés par des clients de l’opérateur Orange (France Télécom), 82 millions de SFR et 55 millions de Bouygues Telecom.

Pour le jour de l’an, le pic s’établit traditionnellement entre minuit et une heure du matin, avec l’an passé, près de 50 millions de SMS envoyés. Si Orange se refuse à communiquer ses prévisions, Bouygues Télécom a indiqué qu’il s’attendait à «un doublement par rapport à 2007», avec 110 millions de textos transmis dans la journée du 1er janvier. «La plupart de nos offres comprennent des SMS et MMS illimitées», ce qui favorise cet essor, a expliqué le troisième opérateur français. De son côté, SFR dit s’attendre à une «hausse de 20% du nombre de SMS envoyés entre minuit et une heure du matin», soit quelque 16 millions, et «une augmentation de 100% du nombre de MMS» (environ 500.000).

Source 20Minutes


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