Mon Blog (Titre Provisoire)

C’est parti pour le cinquième épisode de L’amour est dans le pré. Après le courrier du cœur et les speed dating, tous les prétendants et prétendantes se retrouvent chez nos agriculteurs pour passer une semaine. Alors que dans certaines maisons, une bonne ambiance règne, dans d’autres les rivalités de font sentir. Dès ce soir, certains prétendants vont rentrer chez eux et quitter l’aventure.

« Je ne pense pas qu’on va se marier aujourd’hui »

Guy. Estelle, la blonde, et Claire, la brune, plaisent énormément à l’agriculteur, qui ne sait pas ou donner de la tête. Claire se met toujours en retrait, mais sa rivale prend sa défense et demande à Guy d’avoir un peu plus de retenue. Le lendemain, Guy profite du beau temps pour organiser un pique-nique avec les deux prétendantes. Il veut en profiter pour en connaître davantage sur les intentions des filles pour l’avenir. Estelle lui confie qu’elle trouve qu’il va un peu vite et qu’elle n’est pas encore sure de ses sentiments. Elle ne veut pas qu’il s’emballe trop vite et fasse des projets sur le long terme. De son côté, Claire se rapproche du fermier et lui montre que même si elle est timide, elle l’aime bien.

Pascal. Dans la Marne, l’agriculteur emmène sa prétendante dans un champ de tir proche de chez lui et la jeune femme est conquise, bien que pas très rassurée. Peut-être que la tactique du fermier est d’apeurer Lucie pour ensuite la réconforter… Il l’emmène aussi voir une église qu’elle trouve très romantique, même si elle garde les pieds sur terre : « Je ne pense pas qu’on va se marier aujourd’hui ». « Non », répond Pascal, qui ne semble pas prêt à entendre parler d’amour. Le fermier est en fait un peu inquiet, car - horreur ! - « elle n’accroche pas sur le hard rock ». Il pense s’être trompé et se rend compte qu’il n’a aucune accroche avec la jeune femme. Mais le lendemain, Pascal emmène Lucie faire un tour en hélicoptère, et la jeune femme est aux anges de vivre une telle expérience. Et pour la première fois depuis le début de l’aventure, l’agriculteur sourit et semble profiter de ce moment privilégié avec sa prétendante.

« J’espère qu’elle va pas faire la gueule la grognasse »

Philippe. C’est toujours la guerre entre Monica et Margarida chez l’agriculteur. Alors que la première va toujours dans son sens, au point d’en être insupportablement niaise, la seconde n’hésite pas à donner son avis et à s’affirmer. Quand ils font les courses, c’est encore Margarida qui prend les choses en mains, Monica étant plus occupée à coller Philippe et à lui sourire. De retour à la maison, Margarida s’isole et part faire un tour. Elle a du mal à accepter le fait d’avoir une rivale et ne trouve pas la situation naturelle.

Mais, coup de théâtre, Guy demande à Monica de partir. Il n’a apparemment pas apprécié certaines de ses remarques hors caméra, et la jeune femme n’en revient pas - nous non plus, mais on ne s’en plaindra pas ! On apprend par la suite qu’elle a dit à propos de Margarida, « j’espère qu’elle va pas faire la gueule la grognasse ». La grognasse, on ne sait pas, mais en tout cas Philippe la fait, la gueule. Il explique qu’il a eu un coup de coeur pour Margarida dès le début et qu’il ne supporte pas qu’on en dise du mal (+ 1 pour l’agriculteur). De retour de sa balade, Margarida, qui a rencontré sur le chemin Monica, va voir le fermier pour comprendre ce qui s’est passé. En guise de réponse, il lui dit vouloir rester seul avec elle et l’embrasse (+100 pour l’agriculteur).

« La transformation du plomb en or est en train de s’effectuer »

Agnès. Didier, le Belge, et Olivier, le timide, font toujours leur possible pour séduire l’agricultrice. Elle les emmène dans ses vignes, où les hommes apprennent le métier de viticulteur. Le Belge, qui s’applique de toutes ses forces, déclare avoir déjà des sentiments pour Agnès : « La transformation du plomb en or est en train de s’effectuer, on pourrait aller très très loin ». Olivier est plus maladroit dans le travail et fait plusieurs erreurs qui n’échappent pas à Agnès. Heureusement pour lui, sa gaucherie la fait rire, et femme qui rit…

A l’heure du dîner, le Belge monopolise l’attention - comme à son habitude - et saoule les deux autres convives avec ses histoires. Agnès n’en peut plus et le fait comprendre à Didier, qui n’apprécie pas sa réflexion. Le lendemain, Didier décide de rentrer chez lui, après avoir compris qu’il ne pourrait pas travailler avec Agnès. Quand il annonce sa décision à l’agricultrice, elle en profite pour mettre les points sur les « i », et lui dire ses quatre vérités. Elle le trouve trop sûr de lui et lui reproche de se mettre trop en avant.

Nicolas. Avec Christine et Mélanie, l’agriculteur de 27 ans n’a pas le temps de s’ennuyer. Alors qu’il prend le temps de faire une sieste après une dure matinée de labeur, les filles décident que la glande a assez duré et le réveillent à l’aide de casseroles et cuillères en bois. Bonne pâte, le jeune homme ne se plaint pas et les emmène même à son cours de danse folklorique. Les filles se montrent très enthousiastes pour ce sport et y mettent beaucoup de bonne volonté. Le lendemain, les filles vont aider Nicolas à nourrir ses veaux, et une fois encore, Christine se montre plus douée que Mélanie, qui n’est pas habituée à la vie de la ferme. L’après-midi, le jeune homme décide de passer du temps seul avec Mélanie et de lui faire visiter Rodez. Une décision qui ne plait pas à Christine, qui se sent mise à l’écart.

Source Ozap

• Laissez un commentaire ... (0)

Comme chaque lundi, Ozap revient sur le nouvel épisode de L’Amour est dans le pré. Cette semaine, Vincent, Freddy, Alain, Sylvie, Yoann et Jean-Pierre reçoivent leurs prétendants dans leurs fermes.

Son chien ou moi

Vincent. Le chaud lapin de l’aventure, qui les trouve toutes « tip-top bonnes », se retrouve avec Laetitia au restaurant, Elodie arrivant le lendemain. La jeune femme lui apprend qu’elle est archi fan des chiens. Mais l’agriculteur est un peu moins fan du meilleur ami de l’homme. Pour lui, « il faut leur mettre une petite branlée de temps en temps ». « Le mien n’en a pas besoin » répond la jeune femme, qui préfère sans doute prévenir tout de suite le fermier. Après le repas, Vincent fait part de ses impressions, « elle m’a saoulé avec son chien ». Et ça ne va pas en s’arrangeant. Le lendemain, alors que Vincent présente ses brebis à la jeune femme, cette fan des animaux ne perd pas une occasion de parler… de son chien.

Freddy. L’agriculteur bio de 39 ans est toujours avec Sylvie. A la ferme, elle n’est pas d’une très grande utilité, même si elle est très motivée. Le soir venu, le fermier lui explique que c’est à elle de faire la cuisine, car lui n’y connaît rien. Il met quand même la table, histoire de répartir les corvées. Le lendemain, on retrouve les deux tourtereaux en train de petit déjeuner chez les parents du fermier, qui, au passage, n’est pas très glamour quand il mange. Il lui apprend qu’il a des pommiers et on assiste à un vrai langage de sourds digne d’une vraie comédie…
Sylvie : « Tu les vends aussi ? »
Freddy : « Non c’est juste pour nous »
Sylvie : « Ha c’est pour perso »
Freddy : « Mais si c’est pour nous ! »
Juste après, Freddy passe chercher Magalie, sa grande favorite. Il l’emmène boire un verre au café de la gare. Et elle a le droit à de grosses déclarations : « J’ai craqué pour toi, mon cœur battait à 100 à l’heure, tu as de beaux yeux »… La jeune femme est moins à l’aise : « Arrête je vais avoir les chevilles qui vont enfler ! » Et Freddy, encore une fois, ne comprend rien… « Parce que t’es trop serrée ? »

« J’ai expérimenté plein de choses »

Alain. Le céréalier de 51 ans est toujours entouré de Fanny et Fabienne. Fanny, la Portugaise, aime se mettre en avant et montre sans cesse du doigt tous ses défauts. Plus discrète, Fabienne joue quant à elle la carte de l’humour pour séduire le fermier. Le lendemain matin, on retrouve Fanny qui se maquille dans la salle de bains et nous raconte que pour elle, Alain a une préférence pour Fabienne, « il la regarde beaucoup, plus que moi en tout cas ». Plus tard, il leur montre ses gros engins - ses tracteurs - et les filles sont impressionnées.

Sylvie. L’éleveuse de chevaux est toujours avec Philippe (on a appris dans la presse que le prétendant exerçait le doux métier d’acteur porno et on a hâte qu’il le lui apprenne). Lors d’un trajet en voiture, on apprend que la jeune femme n’est pas du tout expérimentée pour « la chose » (si seulement elle savait que Philippe peut lui en apprendre de belles). « Ça fait 20 ans que je suis dans la diététique, j’ai expérimenté plein de choses », lui explique-t-il. Pour la diététique, on n’est pas sûr, en revanche pour la suite on veut bien y croire. La jeune femme est gênée, elle qui a quelques kilos en trop. Mais Philippe essaye de la réconforter. Il essaye. « Moi ce que je regarde, c’est la personne globalement, c’est plus le physique ». Traduction : « En effet tu es grosse mais ça ne me pose pas de problème ». Le lendemain, Philippe, qui dort à l’hôtel, arrive pour voir Sylvie à l’œuvre. Mais elle est plus occupée à faire son travail qu’à s’occuper de son hôte.

Christelle fait semblant de dormir pour surprendre Jean-Pierre

Yoann. L’agriculteur de 34 ans accueille chez lui Emmanuelle et Géraldine. Il est très prévenant avec ses prétendantes, qui visitent sa maison. Géraldine se révèle très « pointilleuse » sur chaque détail et risque de vite agacer le fermier. On le comprend vite, c’est une grosse « relou » qui pose sans cesse des questions et rechigne sur la moindre chose. Le gentleman reste zen, mais n’en pense pas moins. Le lendemain, Yoann présente les jeunes femmes à sa mère et leur fait visiter son poulailler. Emmanuelle plaît beaucoup à la mère de l’agriculteur - il faut dire qu’elle a ramené un cadeau et fait tout pour se rendre utile. Géraldine, comme à son habitude, râle et fait des chichis. L’agriculteur trouve une solution radicale : il l’envoie faire une sieste pendant qu’il passe du temps avec Emmanuelle.

Jean-Pierre. Avec Nadège et Christelle, le fermier ne fait pas dans la dentelle. « Elles sont belles les fleurs, c’est toi qui les a mises ? » a le malheur de demander Nadège. (Rappelez vous, l’agriculteur avait peur que l’intelligence de sa prétendante soit inférieure à la sienne) « Bah c’est peut-être le Père Noël », lui répond-il. Super blagueur Alain avec « Nadèche », comme il l’appelle. Christelle (dont l’intelligence n’a jamais été remise en cause) prend les devants et s’impose. Il apprend que sa mère était très/trop présente et que c’est pour ça qu’il est célibataire. Le jour suivant, les filles vont traire les vaches et apprendre le métier du fermier. Plus tard, quand Christelle fait sa sieste, Nadèche rattrape son retard et aide le fermier à ranger. Elle lui fait même un bisou qui n’échappe pas à Christelle. La jeune femme faisait en fait semblant de dormir, et elle est furieuse.

Source Ozap

• Laissez un commentaire ... (0)