Les Français aiment de plus en plus la cuisine exotique

Posted on juillet 23rd, 2010 in News by obi3fr

La patrie de la gastronomie ne boude pas la nourriture exotique, au contraire. Les Français en sont même de plus en plus friands. Les produits exotiques séduisent toujours les Français même si la chinoise fait face à une banalisation de l’offre alors que la tex-mex souffre d’une mauvaise image nutritionnelle à l’inverse de la japonaise, selon une étude Xerfi publiée ce jeudi.

Les raisons? Le marché des produits exotiques, en hausse, «bénéficie de tendances favorables, liées notamment à l’évolution des modes de consommation» comme l’envie de variété dans l’alimentation, une recherche de gain de temps ou des préoccupation nutritionnelles, écrit le cabinet.

Ainsi en grandes surfaces, les ventes de produits exotiques progresse de 5,7% en 2010, passant de 331 millions d’euros en 2009 à 350 millions d’euros cette année, une «véritable performance dans un univers alimentaire atone», souligne Xerfi. «Deux bémols doivent néanmoins être apportés», ajoute le cabinet: la taille du marché en grandes surface reste réduite et la croissance des principaux segments, asiatiques et tex-mex, tend à se ralentir avec «leur arrivée progressive à maturité». En 2011, la hausse devrait être de 4,6% à 366 millions d’euros.

Réel effet de mode du sushi

Les cuisines indienne ou japonaise ont également le vent en poupe mais «la petite taille de ces segments les empêchera de jouer un réel rôle d’entraînement sur l’ensemble du marché», prévient Xerfi. Si le poids des enseignes spécialisées comme Tang Frères ou Paris Store est important, celui de la restauration hors foyer «joue un rôle majeur dans l’exposition des consommateurs» aux nouvelles saveurs.

De même, l’augmentation du nombre d’établissements proposant des produits exotiques, notamment sur le créneau de la restauration rapide, a contribué au développement du marché. Dans un secteur principalement composé d’indépendants (restaurants, traiteurs, etc.), la structuration des réseaux s’est accrue avec l’apparition ou le développement de chaînes, à commencer par le marché du sushi, qui bénéficie d’un réel effet de mode en France.

Source 20Minutes

Alors là, j’adhère totalement ! miam sushi, makis … cuisine indienne, créole, chinoise, tex-mex … miam …


Les Français ont consommé moins de bonbons en 2009

Posted on juillet 23rd, 2010 in News by obi3fr

Mais quand même 3,6kg par personne…

Les Français ont consommé par jour et par personne quelque 10 grammes de bonbons et autres confiseries en 2009, soit à peine moins que l’année précédente, selon les chiffres du syndicat national de la confiserie rendus publics jeudi.

«On mange 3,6 kg de confiserie par an, c’est-à-dire 10 grammes par jour», a déclaré Didier Renou, vice-président du Syndicat national de la confiserie, pour qui le secteur connaît une «certaine stabilité» en France alors que la reprise des exportations se fait attendre.

En 2009, l’industrie française a produit 163.300 tonnes de bonbons, sucettes, chewing gum et autres spécialités régionales, auxquels se sont ajoutées 70.000 tonnes de produits importés. Au total, ce sont ainsi 233.000 tonnes de confiseries qui ont été consommées en France, explique Didier Renou.

Distribution très large

La production nationale s’était élevée à 170.200 tonnes en 2008, contre 85.000 tonnes de produits importés, précise-t-il.

«La diminution en tonnage (de la production française) est très faible, de l’ordre de 4%, en raison de la conjoncture qui ne stimule pas les ventes», poursuit-il en estimant que l’année 2010 sera «globalement identique à l’année 2009».

Selon lui, le secteur de la confiserie tire son épingle du jeu grâce à une offre très diversifiée et s’adresse aussi bien aux adultes qu’aux enfants. De même, la confiserie bénéficie d’une distribution très large (tabacs, boulangeries, stations service…) qui permet d’être proche des consommateurs.

Source 20Minutes

Je n’ai qu’une chose à dire : qui mange mes 3,6 kg ?????


Une pub pour les poulets fait grincer les dents de la police…

Posted on juillet 23rd, 2010 in Marketing by obi3fr

Des poulets élevés en plein air… Le syndicat Unité SGP police a protesté, dans une lettre adressée au président du directoire de L.D.C, contre une campagne du groupe volailler dont les affiches proclament «un bon poulet est un poulet libre», a-t-il annoncé jeudi dans un communiqué.

L’affiche pour les poulets de Loué représente un policier debout en uniforme avec la légende «Poulet de Loué élevé en liberté». A côté de lui, d’autres fonctionnaires de police sont entassés à l’arrière d’une camionnette avec la légende «d’autres poulets», le slogan de la campagne étant «un bon poulet est un poulet libre».

Dans sa lettre, le secrétaire général du premier syndicat de gardiens de la paix, Nicolas Comte, exprime «le mécontentement» de ses collègues «qui sont dénigrés d’une manière la plus vulgaire. Il me semble qu’un groupe avicole aussi important que le vôtre n’a pas besoin d’une publicité aussi simpliste», écrit-t-il.

La Police nationale «ridiculisée»

«En ces périodes où les policiers sont particulièrement exposés dans l’exercice de leur profession, et décriés par de nombreux contradicteurs, il est inutile de notre point de vue que la Police nationale soit ridiculisée de la sorte», ajoute-t-il.

Le directeur général des Fermiers de Loué, dont les produits sont commercialisés par L.D.C, a assuré que l’objectif de cette campagne n’était pas d’avoir «une attitude dénigrante» et s’est dit désolé qu’elle ait pu être perçue de la sorte.

«Je ne voulais pas de visuel qui puisse être désobligeant (…) Si ça a été reçu comme ça, j’en suis vraiment désolé», a déclaré Yves de la Fouchardière, en soulignant que les personnages sur l’affiche portent des uniformes qui ne sont ni des uniformes de policiers, ni de gendarmes.

Selon lui, l’objet de la campagne est d’interpeller les consommateurs sur la différence entre un poulet élevé en plein air et un poulet élevé en batterie.

Source 20Minutes

Et en plus je la trouve même pas drôle cette … ça fait parler dans les … mais franchement je la trouve très «  des années 80″ … naze et pas drôle …


Ces objets du quotidien qui vous contaminent

Posted on juillet 23rd, 2010 in News by obi3fr

Escherichia Coli, staphylocoques dorés, streptocoques. Ces vilains germes aux noms barbares et à la provenance inavouable (oui, Coli, comme dans…), vous les côtoyez tous les jours. Pire, vous les trimballez partout avec vous, et il y a fort à parier que vous en avalez plus souvent qu’à votre tour. Car les microbes sont partout. Petit tour du propriétaire.

Le portable
C’est à la fois votre meilleur ami, le confident de vos aventures sentimentales et votre collègue de boulot le plus précieux. Imprévisible, il sonne quand vous vous y attendez le moins. Et vous vous précipitez pour répondre, quoi que vous ayez eu entre les mains justes avant. Du coup, comme l’ont déjà démontré des études scientifiques, votre portable est une usine à germes que vous passez votre temps à vous frotter contre la bouche alors qu’elle contient 500 fois plus de microbes que la lunette des toilettes.

Le clavier de votre ordinateur
Dégoûté du portable? L’e-mail, voilà un mode de communication propre. Propre à condition de taper sans les mains. Car le clavier n’a rien à envier au téléphone et serait, lui aussi, plus sale qu’une lunette de toilettes (qui semble être devenu une sorte d’unité de mesure). Au point d’être responsable d’intoxication alimentaire. Les anglo-saxons ont même un terme pour désigner la mésaventure: Qwerty tummy (Qwerty, comme les premières lettres d’un clavier, et tummy, ventre).

Les sacs à main
Un sac à main, on y fourre tout, on l’emmène partout. Résultat: il est aussi contaminé à l’intérieur qu’à l’extérieur. Dedans: le téléphone portable (voir plus haut), toutes sortes d’objets ayant traîné à droite ou à gauche, et puis vos mains. Dehors: tout ce que vous avez récupéré en posant votre sac dans le métro, la rue, les toilettes. Une chaîne américaine avait réalisé des prélèvements sur une cinquantaine de sacs, pour un résultats terrifiants qui avait amené les journalistes à déconseiller à ces dames de poser leur sac là où elles ne poseraient pas leurs chaussures.

Et tout le reste
Les fameuses cacahuètes au bistrot et leurs 14 sortes d’urine différentes, la télécommande, l’éponge dans la , la poignée de porte des toilettes, le pot de crème hydratante dans lequel tout le monde pioche allègrement dans la salle de bain, la barre du métro, le tube de baume ou de rouge à lèvres, sans parler de la piscine, dans laquelle les germes se recombinent aux produits désinfectants pour donner naissance à des produits toxiques…

Evidemment, les pro du anxiogène ont flairé le filon. A chaque problème sa solution: le porte-sac pour ne pas qu’il traîne partout, les flacons de gel hydro-alcoolique, les lingettes pour claviers ou pour téléphone portable… Mais finalement, est-ce vraiment si grave de côtoyer ces petites bêtes peu ragoutantes au quotidien?

Source 20Minutes


L’Amour est dans le pré 5×07 : « Si on allait à Verdun, voir les plages du débarquement ? »

Posted on juillet 23rd, 2010 in TéléRéalité by obi3fr

Pour ce septième épisode, les agriculteurs de l’Amour est dans le pré vont devoir faire un choix et décider s’ils veulent - ou pas - aller à leur tour chez leurs prétendants. Cette semaine, on retrouve Pascal, Agnès, Guy, Nicolas et Philippe. Si certains ont déjà fait leur choix, d’autres, comme Guy, vont devoir éliminer un prétendant.

Pascal. Avec Lucie, jeune femme de 24 ans, le fermier de la Marne essaye de faire des efforts. Il l’emmène dans un dancing du coin pour déjeuner. Mais si elle fait de son mieux pour lancer la conversation, lui reste muet. Elle a le malheur de lui proposer une visite de Verdun, pour visiter les plages du débarquement (!!!), mais Pascal refuse… car il ne saurait pas où se garer ! Plus tard, l’agriculteur se confie et déclare qu’il ne sait pas si Lucie est suffisamment ouverte. Il a peur de ne pas avoir vu toute sa personnalité. Pour le dîner, ils mangent au bistro de Franck, un ami de longue date du paysan, l’occasion pour Lucie de lui faire comprendre qu’elle veut qu’il vienne chez elle par la suite. Pascal ne répond pas, comme toujours. Plus tard dans la journée, pendant que Pascal fait une sieste, Lucie va voir ses voisins pour avoir plus d’informations sur lui. Au final, Pascal accepte finalement de se rendre chez la jeune femme, même s’il n’a pas l’air très emballé.

« Tu veux de la mayonnaise ? »

Guy. Alors que l’agriculteur n’arrive toujours pas à faire de choix entre Claire et Estelle, il décide d’accorder un tête-à-tête à chacune d’elles, pour mieux les connaître. Il commence par la blonde, Estelle, qui lui déclare que son fils de 5 ans lui manque. Elle veut qu’il comprenne que son enfant est l’amour de sa vie. Guy ne sait pas s’il parviendra à trouver une place dans sa vie et dans son cœur, il trouve qu’elle ne lui fait pas confiance. Alors qu’il passe deux heures avec Estelle, il en oublie complètement Claire, qui attend, seule dans le froid. Elle a aussi l’impression d’avoir la mauvaise place, et de tenir la chandelle. Une fois rentrée chez Guy, Estelle déclare qu’elle ne se sent pas comprise et qu’elle n’a pas apprécié la réaction de Guy, qui lui en demande trop. Quand Guy prend enfin un peu de temps en tête-à-tête avec Claire, il lui explique les évènements de la journée et le comportement d’Estelle, qui fait passer son fils avant tout. Pour en rajouter une couche, Claire approuve l’agriculteur et déclare : « C’est une des premières causes de divorces en plus les enfants. Elle n’assume pas le fait qu’elle soit venue ici ».

Mais le lendemain matin, Claire est remontée contre Guy, qui a passé la soirée à lui parler d’Estelle. A l’étonnement général, il lui aurait annoncé vouloir continuer l’aventure avec elle, alors que plus tôt dans la journée, il avait dit la même chose à Estelle. Et la brune aurait refusé, lui disant qu’elle n’avait pas encore eu d’étincelle. Plus tard, Il explique qu’il a toujours eu une préférence pour Estelle, et qu’il regrette que tout se passe mal avec les deux jeunes femmes. Guy a fait son choix : il va demander à Claire de partir (comme elle lui a mis une veste deux heures plus tôt, ça n’a rien d’étonnant), et demande à Estelle de continuer l’aventure avec lui. Mais Estelle ne semble pas du même avis et le considère plus comme un bon copain.

Agnès. La viticultrice qui habite dans la Marne, comme Pascal, le rejoint avec Olivier pour déjeuner. Comme à son habitude, Pascal ne dit rien alors qu’Agnès lui fait subir un véritable interrogatoire. Elle lui accorde une danse au cours de laquelle elle demande au fermier de se confier. Il lui dit qu’il est très déçu que son autre prétendante ne soit pas venue et qu’il trouve Lucie trop jeune. En bonne entremetteuse, Agnès essaye de le motiver pour qu’il fasse plus d’effort avec sa prétendante. Il n’est pas sûr d’avoir choisi la bonne fille. Il en aurait voulu une avec des gros seins… De son côté, Olivier essaie de tirer les vers du nez de Lucie. Le soir venu, Agnès et Olivier dinent aux chandelles. Et quand Olivier s’ouvre un peu plus et déclare sa flamme, Agnès lui demande s’il veut de la mayonnaise. Elle lui conseille toutefois de prendre des forces pour plus tard… peut-être qu’il y aura enfin un peu d’action dans cette saison de L’Amour est dans le pré ! Le lendemain, Agnès et Guy font un pique-nique en amoureux et évoquent l’avenir. Olivier veut toujours la découvrir et qu’elle vienne à son tour chez lui. Agnès accepte l’invitation et précise que sa carapace est en train de se fendre.

« Une vache c’est con, mais les brebis c’est encore plus con »

Nicolas. Le jeune producteur laitier continue de faire découvrir son univers à ses deux prétendantes. Il a décidé d’accorder à chacune des instants en tête-à-tête. Ce matin, c’est au tour de Christine de visiter l’Aveyron en quad. Elle lui explique que même si elle ne s’exprime pas énormément, elle tient à aller plus loin et qu’elle se plait chez lui. En réponse, l’agriculteur lui dit qu’elle a deux jolis yeux (quel est le rapport ?), mais montre toujours aussi peu ses vrais sentiments. Plus tard, les deux filles aident l’agriculteur à nourrir ses veaux, et Mélanie est toujours aussi niaise et agaçante. Nicolas n’est pas très content qu’elle ait renversé la moitié du lait par terre. Le soir venu, il présente les deux filles à ses proches, dont ses deux sœurs. Comme lui, elles n’ont pas de préférence pour l’une ou l’autre. Le lendemain, Mélanie vient aider (le ralentir dans son travail serait une meilleure formulation), cette fois seule, l’agriculteur et fait la connaissance des vaches. Il en profite pour connaître ses premières impressions et son sentiment vis à vis de lui. Hélas, le sujet dévie rapidement vers les animaux. « Une vache c’est con, mais les brebis c’est encore plus con ». Ca ne s’invente pas !

Philippe. En Auvergne, l’éleveur de vaches file toujours le parfait amour avec Margarida. Il lui laisse même conduire son tracteur, et elle trouve ça génial. Elle en veut même un pour Noël. En contrepartie, pour ce moment de joie, de retour à la maison, elle lui masse les pieds. Il l’invite le soir venu au restaurant. Margarida lui explique qu’elle a peur du départ qui approche à grand pas. Les deux étant déjà fous amoureux, leur histoire en devient inintéressante, bien que touchante. Heureusement, le lendemain matin, c’est le drame. Margarida n’aurait pas apprécié une remarque de Philippe et l’a abandonné sur la route, le forçant à rentrer à pieds chez lui. De retour chez lui, l’alsacienne a le sourire et semble remise. Juste après, les deux se battent dans le foin comme des adolescents, et se réconcilient. Alors que Margarida va devoir s’en aller, Guy lui offre un porte-clef camion pour qu’elle pense à lui, quand elle sera à 800 km de lui. Malheureusement, il ne lui fait pas « pouet pouet ».

Source Ozap


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