Maladie d’Alzheimer: quel est votre facteur de risque ?

Posted on juillet 20th, 2011 in News by obi3fr

Une étude présentée mardi suggère qu’à peu près la moitié des cas de la maladie d’Alzheimer dans le monde seraient attribuables à sept facteurs de risque supposés, la plupart liés au style de vie.

Ils sont sept. Sept facteurs de risque supposés de la maladie d’Alzheimer qui contribueraient à près de la moitié des cas dans le monde, d’après une étude présentée mardi lors de la Conférence internationale de l’Association Alzheimer, à Paris. « Nous avons été surpris que des facteurs de style de vie tels que l’inactivité physique et le tabagisme puissent contribuer à un aussi grand nombre de cas de maladie d’Alzheimer que les maladies cardiovasculaires dans notre modèle », explique le Pr Deborah Barnes, à la tête des chercheurs de l’Université de Californie chargé de l’étude.

Les résultats de l’étude suggèrent que 19% des cas de la maladie d’Alzheimer dans le monde pourraient être lié au faible niveau d’instruction, 14% au tabagisme, 13% à l’inactivité physique, 11% à la dépression, 5% à l’hypertension, 2% à l’obésité et 2% au diabète. Selon un modèle mathématique construit par les chercheurs, une réduction de 25% de ces sept facteurs de risque pourrait prévenir plus de 3 millions de cas d’Alzheimer dans le monde. Pour une réduction de 10%, c’est un million de cas qui pourraient être évités.

Mais les chercheurs restent prudents. Car les résultats de cette étude n’ont pas encore été prouvés scientifiquement. Il n’est donc pas démontré que le fait de modifier ces facteurs de risque pourrait diminuer le nombre de cas de la maladie d’Alzheimer. Prochaine étape pour les chercheurs : la réalisation d’études à grande échelle pour savoir si le fait de jouer sur ces facteurs de risque pourrait diminuer le nombre de cas de la maladie. Et le temps presse car le nombre de malades d’Alzheimer et des démences apparentées devrait doubler en 20 ans dans le monde. Selon des estimations de l’association Alzheimer‘s Disease International, il pourrait passer de 35,6 millions aujourd’hui à 65,7 millions en 2030.

Source TF1.fr


Un cinquième des cancers seraient liés à l’alimentation

Posted on juin 18th, 2011 in News by obi3fr

Une alimentation équilibrée incluant certains aliments spécifiques permettraient de prévenir le cancer.

Environ 20% de l’ensemble des cancers serait causé par l’alimentation, contre 30% qui serait associé à des hormones déjà présentes dans l’organisme et 30% au tabac, a affirmé David Khayat, chef du service de cancérologie à la Pitié-Salpêtrière, au micro d’Europe 1, lundi 13 juin.

Le spécialiste a également indiqué qu’une meilleure alimentation pouvait avoir un impact positif sur le développement des cancers, même s’il n’existe « pas d’aliments qui traitent le cancer« .

Auteur du livre Le vrai régime anticancer, le cancérologue David Khayat estime que le thé vert, le jus de grenade, le gingembre, le pain et la viande rouge sont des aliments anticancers, contrairement au saumon et au thon rouge qui seraient cancérigènes.

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement, et du travail (Anses) a rendu un rapport d’expertise, le 27 mai dernier, suggérant qu’il n’existe aujourd’hui aucun aliment, nutriment ou complément alimentaire en soi capable de prévenir le cancer.

Toutefois, l’agence sanitaire a précisé qu’une alimentation équilibrée et diversifiée associée à une activité physique régulière pouvait aider à prévenir le risque de certains cancers, préconisant notamment de limiter la consommation d’aliments à forte densité énergétique, l’absorption de boissons alcoolisées, et la consommation de viandes rouges, de charcuteries, de sel et d’aliments salés.

Source Metro


Le classement des mobiles les plus nocifs

Posted on juin 2nd, 2011 in News by obi3fr

L’OMS vient de qualifier les téléphones portables de « possiblement cancérogènes ». Pour de nombreux utilisateurs, une question se pose désormais : quels sont les portables les moins nocifs et combien d’ondes émet le mien ?

Le site Internet spécialisé en nouvelles technologies cnetfrance.fr a établi une liste des dix mobiles émettant le plus d’ondes et des dix en émettant le moins parmi les appareils les plus vendus en France. Il propose également une liste plus complète des principaux mobiles disponibles sur le marché.

Les ondes émises par un portable sont mesurées par l’indice de débit d’absorption spécifique, ou DAS. Cet indice représente le niveau maximal de radiofréquences émis par le vers la personne qui l’utilise, c’est-à-dire lorsque l’appareil fonctionne à pleine puissance et dans les plus mauvaises conditions d’utilisation. Cette valeur, qui s’exprime en watts par kilogramme (W/kg) de tissu organique.

Les 10 mobiles au DAS le plus faible :

1. Samsung Galaxy S 0,23 W/kg

2. Samsung Galaxy S 2 0,33 W/kg

3. HTC Desire S 0,35 W/kg

4. Sony Ericsson Xperia Play 0,36 W/kg

5. Samsung Nexus S 0,50 W/kg

6. HTC 7 Mozart 0,53 W/kg

7. LG Optimus 2X P990 0,54 W/kg

8. Apple iPhone 4 0,59 W/kg

9. Samsung Wave 2 0,62 W/kg

10. Samsung Player 5 0,63 W/kg

10 bis. HTC HD2 0,63 W/kg

 

Les 10 mobiles au DAS le plus élevé :

1. Sony Ericsson X10 Mini Pro 1,61 W/kg

2. Sony Ericsson Satio 1,58 W/kg

3. BlackBerry Curve 9300 1,45 W/kg

4. BlackBerry Bold 9780 1,11 W/kg

5. Sony Ericsson Yendo 1,07 W/kg

6. Nokia C6 1,05 W/kg

7. Sony-Ericsson Vivaz 1,04 W/kg

8. Nokia N8 1,02 W/kg

9. BlackBerry Curve 8520 1,02 W/kg

La législation européenne limite depuis des années les ondes émises par les téléphones mobiles en deçà d’un certain seuil, mais tous les modèles ne sont pas équivalents en termes de rayonnements, certains en émettant six à sept fois plus que d’autres.

En Europe, l’indice DAS est mesuré selon des procédures harmonisées sur un cube de 10 grammes de tissu et ne doit pas dépasser 2 W/kg au niveau de la tête et du tronc, où se trouvent les organes vitaux du corps humain (cerveau, coeur, poumons, foie, etc.). Aux Etats-Unis, le rayonnement est mesuré sur un cube de 1 gramme et ne doit pas dépasser 1,6 W/kg.

Si tous les téléphones commercialisés en France doivent répondre à cette norme de 2W/kg depuis octobre 2003, leur niveau d’émission peut cependant varier énormément d’un modèle à l’autre, y compris au sein d’une même marque.

Source LeMonde


Régime dukan : et après ?

Posted on mai 31st, 2011 in News by obi3fr

Trois-quarts des personnes ayant démarré un régime Dukan il y a plus de deux ans ont repris le poids perdu. Telle est la première conclusion de notre vaste enquête Le régime Dukan : et après ?, menée par la rédaction du groupe CCM Benchmark.

Ces chiffres contredisent l’impression favorable laissée par les multiples témoignages très positifs des adeptes de ce régime, particulièrement populaire en France aujourd’hui. Nous voulions aller voir plus loin et savoir ce qu’étaient devenues ces personnes deux, trois, quatre et même cinq ans après avoir commencé ce régime : avaient-elles réellement stabilisé leur poids ?

Après avoir recherché dans la littérature scientifique, nous n’avons trouvé aucune étude à long terme sur le sujet. Devant ce constat, les rédactions de Santé-médecine et du Journal des Femmes Santé, accompagnées par le département Etudes de CCM Benchmark, ont donc lancé une vaste enquête indépendante, à laquelle ont répondu pas moins de 4 761 internautes. Au-delà des chiffres, cette enquête, qui fait l’objet d’une publication dans la revue médicale Obésité*, permet de prendre conscience de l’aspect éphémère des régimes rapides et trop restrictifs.

Le rapport est à télécharger !

Source JournalDesFemmes


Régime Dukan : Carences alimentaires, atteintes rénales …

Posted on mars 3rd, 2011 in News by obi3fr

Le régime Dukan et ses cousins fondés sur une diète déséquilibrée favorisant les protéines, prennent une nouvelle claque. Après la publication cet automne par l’ANSES d’un rapport accablant contre les régimes alimentaires sauvages, une nutritionniste québécoise enfonce le clou. Carences alimentaires, atteintes rénales… les conséquences des régimes protéinés et appauvris en glucides peuvent s’avérer dramatiques.

Dukan, Atkins, Montignac… Marie-Josée LeBlanc, nutritionniste à l’Université de Montréal au Québec (Canada), met en garde contre ces régimes protéinés pauvres en glucides. « Etant donné le manque de variété des aliments autorisés, ils peuvent entraîner des carences alimentaires », leur reproche-t-elle. Anémie, risque d’ostéoporose voire insuffisance rénale font partie des conséquences possibles de ce type de régimes.

Un avis déjà émis en France, par l’Agence nationale de Sécurité sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES). Le 25 novembre dernier, cette dernière publiait son analyse des nombreux régimes amaigrissants disponibles sur Internet et dans des ouvrages dont certains ont connu un succès d’édition… mondial. Les rapporteurs avaient conclu que ces régimes comportaient de nombreux risques pour la , notamment au niveau cardiaque, rénal et osseux.

Autre reproche de poids si l’on ose dire : leur inefficacité. La nutritionniste québécoise justement, s’appuie sur les résultats de l’Agence française pour alerter les candidats à ces régimes sur un autre risque qui les menace, celui d’une importante reprise pondérale. « Les études démontrent qu’à long terme, les utilisateurs de ces régimes risquent de reprendre le poids perdu, voire d’en gagner davantage ». Un risque d’ailleurs, qui n’a rien d’anecdotique. A en croire l’ANSES, pratiquement 80% des sujets reprendraient le poids perdu (ou davantage, donc) après seulement un an.

Or souligne Marie-Josée LeBlanc, « 50% des femmes en bonne santé estiment qu’elles devraient perdre du poids ». A ces femmes – et aux hommes qui sont également très nombreux dans ce cas – l’ANSES rappelle qu’il est impératif de consulter « un spécialiste – médecin nutritionniste, diététicien – qui pourra leur proposer le régime correspondant aux caractéristiques de chacun ».

Pour aller plus loin : Consultez le site Internet www.extenso.org, du Centre universitaire de nutrition préventive NUTRIUM de l’Université de Montréal ; Prenez connaissance du rapport de l’ANSES, Evaluation des risques liés aux pratiques alimentaires d’amaigrissement.

Source DestinationSanté

Bah oué … les régimes, c’est comme le sport … c’est mal … :-)


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