Régime Dukan : Carences alimentaires, atteintes rénales …

Posted on mars 3rd, 2011 in News by obi3fr

Le régime Dukan et ses cousins fondés sur une diète déséquilibrée favorisant les protéines, prennent une nouvelle claque. Après la publication cet automne par l’ANSES d’un rapport accablant contre les régimes alimentaires sauvages, une nutritionniste québécoise enfonce le clou. Carences alimentaires, atteintes rénales… les conséquences des régimes protéinés et appauvris en glucides peuvent s’avérer dramatiques.

Dukan, Atkins, Montignac… Marie-Josée LeBlanc, nutritionniste à l’Université de Montréal au Québec (Canada), met en garde contre ces régimes protéinés pauvres en glucides. « Etant donné le manque de variété des aliments autorisés, ils peuvent entraîner des carences alimentaires », leur reproche-t-elle. Anémie, risque d’ostéoporose voire insuffisance rénale font partie des conséquences possibles de ce type de régimes.

Un avis déjà émis en France, par l’Agence nationale de Sécurité sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES). Le 25 novembre dernier, cette dernière publiait son analyse des nombreux régimes amaigrissants disponibles sur Internet et dans des ouvrages dont certains ont connu un succès d’édition… mondial. Les rapporteurs avaient conclu que ces régimes comportaient de nombreux risques pour la , notamment au niveau cardiaque, rénal et osseux.

Autre reproche de poids si l’on ose dire : leur inefficacité. La nutritionniste québécoise justement, s’appuie sur les résultats de l’Agence française pour alerter les candidats à ces régimes sur un autre risque qui les menace, celui d’une importante reprise pondérale. « Les études démontrent qu’à long terme, les utilisateurs de ces régimes risquent de reprendre le poids perdu, voire d’en gagner davantage ». Un risque d’ailleurs, qui n’a rien d’anecdotique. A en croire l’ANSES, pratiquement 80% des sujets reprendraient le poids perdu (ou davantage, donc) après seulement un an.

Or souligne Marie-Josée LeBlanc, « 50% des femmes en bonne santé estiment qu’elles devraient perdre du poids ». A ces femmes – et aux hommes qui sont également très nombreux dans ce cas – l’ANSES rappelle qu’il est impératif de consulter « un spécialiste – médecin nutritionniste, diététicien – qui pourra leur proposer le régime correspondant aux caractéristiques de chacun ».

Pour aller plus loin : Consultez le site Internet www.extenso.org, du Centre universitaire de nutrition préventive NUTRIUM de l’Université de Montréal ; Prenez connaissance du rapport de l’ANSES, Evaluation des risques liés aux pratiques alimentaires d’amaigrissement.

Source DestinationSanté

Bah oué … les régimes, c’est comme le sport … c’est mal … :-)


Son père lui cuisine un gateau Angry Birds jouable pour ses 6 ans !

Posted on février 23rd, 2011 in N'importe nawak by obi3fr

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On vous l’a suffisamment répété quand vous étiez gamin, jouer avec la nourriture c’est mal! Pour le sixième anniversaire de son fiston, ce papa geek a malgré tout décidé de déroger exceptionnellement à la règle en lui cuisinant un gâteau d’anniversaire Angry Birds qui, contrairement aux vus et revus autres gâteaux du même type, a la particularité d’être jouable!

10 heures de préparation pour à peine 2mn de démolition mais tellement fun!

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Source Nowhereelse


A tous les fans du Coca light …

Posted on janvier 14th, 2011 in News by obi3fr

Les boissons « light » et l’aspartame pointés du doigt

Les édulcorants chimiques, souvent épinglés, provoqueraient des naissances avant terme chez les femmes et des cancers chez les souris mâles, selon deux études récentes dont les scientifiques du Réseau environnement (RES) se font l’écho.

L’Association Internationale des Edulcorants (ISA/AIE), pour sa part, « conteste la validité scientifique de ces deux études et rappelle que l’aspartame constitue l’un des produits alimentaires les mieux étudiés dans le monde ».

L’aspartame, édulcorant le plus utilisé au monde (Canderel, Nutrasweet…), se retrouve dans plus de 6.000 produits, du chewing-gum aux boissons light, dont plus de 500 produits pharmaceutiques. Selon le RES, 200 millions de personnes en consommeraient « régulièrement ».

Chez les enfants et les femmes en âge de procréer, l’absorption quotidienne est estimée à 2,5 à 5 mg par kg de poids corporel. La dose journalière admissible établie par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) est de 40 mg/kg.

L’étude, conduite par le Danois Thorhallur Halldorsson, sur près de 60.000 Danoises enceintes, est parue fin 2010 dans l’American journal of clinical nutrition. D’après cette étude, la consommation d’au moins une boisson gazeuse contenant un édulcorant augmente en moyenne de 38% les risques de naissance avant terme. L’augmentation des risques est de 27% si l’on n’en boit qu’une par jour, 35% si l’on en boit 2 ou 3, 78% quand c’est plus de 4…

L’impact est moindre avec les boissons non gazeuses, l’augmentation du risque allant de 11 à 29%. Il est vrai qu’elles comportent, selon les chercheurs, 2 à 3 fois moins des deux édulcorants principaux (aspartame surtout et acesulfame-K, parfois associé) que les boissons gazeuses, étant en revanche plus riches en cyclamate et saccharine.

« Ce ne sont pas des produits anodins (…) pourquoi ne prend-on pas de précaution pour la femme enceinte alors qu’on a des études qui montrent un effet ? », demande Laurent Chevallier, médecin nutritionniste CHU de Montpellier et responsable de la commission alimentation RES.

Etonné par « l’absence de réaction des pouvoirs publics », il estime qu’on pourrait apprendre à se passer de ces produits qui n’ont rien d’indispensable.

Publiée il y a quatre mois dans l’American Journal of industrial medicine, une étude du chercheur italien Morando Soffritti, de l’Institut Ramazzini de recherche en cancérologie environnementale, corrobore quant à elle deux études antérieures menées sur les impacts de l’aspartame chez les rats.

D’après l’étude italienne, cet édulcorant élève les risques de cancers du foie et du poumon chez 240 souris mâles, exposées de la gestation à la mort. En revanche, ces risques n’apparaissent pas augmentés chez les femelles.

Fin 2009, l’EFSA, compétente dans l’évaluation pour les pays européens des additifs alimentaires, à contesté la méthodologie des études antérieures conduites par le Dr Soffritti, et a estimé que rien n’indiquait « un quelconque potentiel génotoxique ou carcinogène » après exposition in utero.

Pour le RES, ces critiques ne sont « pas fondées ». « Est-ce qu’on attend que les études sur les rongeurs soient vérifiées chez l’homme ? », demande André Cicolella, son président.

L’Anses (Agence française de sécurité sanitaire alimentation/environnement) a indiqué mercredi qu’elle allait « examiner sans délai ces nouvelles études en vue d’éventuelles recommandations aux autorités françaises » et, le cas échéant, une saisine de l’EFSA.

Source LeNouvelObs


KFC lance son sandwich sans pain

Posted on novembre 16th, 2010 in Recettes by obi3fr
KFC lance son sandwich sans pain

La chaîne américaine « Kentucky Fried Chicken », spécialisée dans les recettes de poulet, a annoncé le 1er avril un nouveau sandwich sans pain.

Si tout le monde a cru à une blague, force est de constater que le « Double Down » est en vente dans les restaurants KFC d’Amérique du Nord. Le pain y a simplement été remplacé par deux tranches de poulet frit.A l’intérieur, on trouve aussi deux tranches de fromage, deux tranches de bacon et une sauce bien grasse.

Alors que l’enseigne affirme que la recette contient 540 k calories, des tests extérieurs en auraient plutôt trouvé 1228 ! Du coup, les nutritionnistes montent au créneau, dénonçant un sandwich assassin. La directrice du centre de recherche en nutrition et de lutte contre l’obésité de Yale a parlé de « bombe de sel ». Les médias sont également consternés et entretiennent la polémique : le « New York Times » écrit qu’il faut éviter ce repas dégoûtant, le « Chicago Tribune » parle d’une indécence culinaire, un journaliste le conseille pour un suicide et un autre soupçonne un complot d’Al-Qaeda…

Source ClubSandwich


Une tartine de phtalates au petit-déjeuner

Posted on juillet 30th, 2010 in Marketing by obi3fr

Les emballages contaminent les aliments avec des substances dangereuses pour la

On en mange tous les jours sans le savoir. Les phtalates, des plastifiants chimiques utilisés pour fabriquer les emballages en plastique souple, contaminent les aliments qu’ils sont censés protéger et atteignent l’organisme humain. Ils seraient notamment une cause de stérilité masculine.

Des phtalates dans le Nutella

Barquettes plastiques, sachets, boîtes de conserves,… quasiment tous les emballages contiennent des phtalates. Même la célèbre pâte à tartiner Nutella pourrait être une menace pour la santé: les chercheurs y ont décelé une forte concentration en DEHP, un des plastifiants les plus efficaces.

Le groupe Ferrero, qui produit le Nutella, a constaté la présence de plastifiants dans sa pâte à tartiner, mais en «quantité inoffensive». Il faudrait, selon le groupe italien, manger des quantités énormes de Nutella pour que des risques de stérilité apparaissent.

Une probable cause de stérilité masculine

Les phtalates sont soupçonnés par les scientifiques de perturber l’équilibre hormonal masculin. Plusieurs études européennes ont démontré la présence de phtalates dans l’organisme et la moitié des hommes étudiés produisent trop peu de spermatozoïdes, ou des spermatozoïdes trop lents. Les phtalates peuvent même atteindre les fœtus et entraver le développement des testicules.

En 2008, des chercheurs de l’Inserm ont ainsi démontré expérimentalement, en reproduisant in vitro le développement d’un testicule, que les phtalates étaient «délétères pour la mise en place du potentiel reproducteur masculin dans l’espèce humaine». Dans les pays industrialisés, on estime actuellement qu’un homme produit deux fois moins de spermatozoïdes que son grand-père n’en produisait au même âge.

Déjà interdits dans les jouets

Les phtalates sont cependant difficiles à éviter: la composition des emballages n’apparaît pas sur les produits et la sous-traitance de l’emballage ne permet pas toujours la traçabilité des plastiques. Les cosmétiques sont, après l’alimentaire, le deuxième domaine d’application des phtalates, où ils sont notamment utilisés comme agents fixateurs.

La législation européenne interdit l’utilisation des phtalates dans les jouets depuis janvier 2007, à la suite de leur classification comme «toxiques pour la reproduction» par la Commission européenne. En France, la députée UMP Valérie Boyer a déposé début juillet une proposition de loi visant à interdire les phtalates à l’hôpital: les dispositifs médicaux à destination des femmes enceintes, des prématurés, des nourrissons et des enfants pourraient être débarrassés de ces produits chimiques.

Source 20minutes

Ils veulent vraiment nous empêcher de manger du nutella ou quoi ??? :-)


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