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Un avant goût de 3G ? Un peu plus de deux ans après l’ouverture du réseau freephonie, jusqu’à présent limité à la voix, Free a annoncé ce matin la transformation de ses 3 millions de freebox ADSL (v5) en points d’accès Wifi publics.

« Ce service permet ainsi à tous les abonnés ADSL dégroupés de profiter d’un accès internet gratuit (inclus dans leur forfait ADSL) à travers ces points d’accès dans les zones dégroupées. » explique l’opérateur.

Distinct du réseau privé wifi des abonnés Free, ce réseau tout simplement baptisé « Freewifi » (http://wifi.free.fr) est sécurisé puisque chaque freenaute doit se logguer avec ses identifiants de connexion et que Free lui attribue une adresse IP spécifique et non l’adresse IP de la Freebox dont il exploite l’accès.

Une précaution bienvenue en cette ère post-hadopi, et qui devrait en tout cas permettre à Free de se positionner à son tour en fournisseur d’accès Quadruple play avec de l’internet, de la téléphonie, de la télévision et désormais de l’internet mobile.

Selon nos informations, le débit du Wifi « public » correspondra au débit non utilisé par l’abonné Free soit potentiellement plusieurs megabits, ce qui autoriserait des applications comme la VoIP, la messagerie, le surf mais également le streaming.. ou le P2P.

Avec un lancement simultané sur ses 3 millions de Freebox, Free fait en tout cas mieux que SFR, dont quelques centaines de milliers de Neufbox sont ouverts au réseau wifi FON ou encore qu’Orange dont seules les livebox pro sont transformées en points d’accès public et payant.

Une solution transitoire bienvenue en attendant une hypothétique licence 3G à laquelle postule Iliad, la maison mère de Free.

Source Clubic

En voilà une bonne nouvelle !

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CyberSentinel.co.uk, un logiciel de contrôle parental a publié les résultats d’une petite étude du style “Que font nos jeunes boutonneux sur le net” et les chiffres sont tombés !

Ils passent en moyenne par semaine :

• 1h35 sur des sites qui parlent de régime
• 1h08 sur des sites traitant de chirurgie esthétique
• 1h40 de téléchargement et d’écoute de musique
• 1h22 sur des sites de santé genre “Mon dieu, j’ai les poils qui poussent”
• 2h00 à glander sur Youtube
• 1h00 sur des sites du style SOS Amitié
• 1h15 sur des sites de recontre
• 1h30 sur des sites d’enchères comme eBay
• 1h50 sur Second Life
• 1h40 sur des sites de cul (!!)
• Et bien sûr 3h10 de recherche pour faire leurs devoir (Ah bah quand même !)

Sans compter qu’ils peuvent passer jusqu’à 9h par semaine à tchatter avec leurs pôtes sur MSN, Facebook…etc

Pas mal tout ça… 1h40 par semaine sur des sites porno quand les hormones travaillent, c’est compréhensible mais 9h sur Facebook, là j’hallucine . Ils se font quoi sur Facebook ? Je te poke, tu me pokes, je te poke, tu me poke, je te…etc ??? Arf !

Plus sérieusement, le DailyMail chez qui j’ai trouvé l’info s’est surtout focalisé sur les “87 heures par an que les ados passent sur des sites de cul” mais je trouve que les histoires de régime et de chirurgie sont tout aussi inquiétantes… Et à ceux qui demanderaient “Mais où sont leurs parents ?”, apparement, devant la TV, faisant trop confiance à un soft de contrôle parental moisi.

Vu chez Korben (article intégral) (excellent blog que je lis quotidiennement)

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