«L’Amour est dans le pré»: à quels candidats écrire?

Posted on janvier 5th, 2011 in TéléRéalité by obi3fr

20minutes.fr vous dresse le portrait des nouveaux candidats…

Avant de commencer sa nouvelle saison d’amours rurales avec L’amour est dans le pré, M6 présente les participants, auxquels il faudra écrire si vous êtes intéressé(e)s. Autant vous dire qu’après Qui Veut épouser mon fils?, le casting est drôlement reposant – et rassurant. A première vue, pas d’outrance ou de ridicule consommé. Des agriculteurs touchants. A 20minutes.fr, on aurait presque eu envie de leur écrire, c’est vous dire…

– Si vous êtes végétarienne, écrivez à Fabien, le hipster des champs.
33 ans, éleveur de vaches, veaux et chevaux en Meurthe-et-Moselle (Lorraine)
Des éleveurs de vaches végétariens, vous n’en verrez pas tous les jours, autant vous jeter sur l’occasion. Si en plus vous êtes bavarde c’est l’homme idéal – il est assez taiseux pour que vous puissiez occuper tout le silence.

– Si vous êtes prête à prendre les choses en main: Alexis, le François Cluzet des îles.
47 ans, viticulteur dans le Var (Provence-Alpes-Côte d’Azur)
Vous avez intérêt à bien le traiter, Alexis est sympa, pas mal, barbe de trois jours, yeux bleus et polo assortis. (Oui on est un peu tombés amoureux. On lui trouve aussi un vague air de François Cluzet). Simplement il ne sait pas draguer. C’est votre chance, c’est grâce à ça qu’il est encore libre. Et il exploite 17 hectares de vignes sur une île paradisiaque dans le Var.

- Si vous n’êtes pas contre la belle famille: Sylvain, le clown normand.

33 ans, éleveur de vaches et céréalier dans l’Orne (Basse-Normandie)
Sylvain vit encore avec ses parents – et si vous lui écrivez, il y a des chances que vous rencontriez les parents en même temps que le fiston. D’ailleurs, les parents en question soulignent son «caractère court» : en gros, il pique des colères. Il est aussi adepte de remarquables aphorismes comme «la terre c’est comme une femme, ça se prend au bon moment» ou «Un sac d’os c’est pas beau».

- Si vous avez une passion pour les vaches: Jean-Michel, le Popeye sans la pipe.

38 ans, éleveur de vaches laitières en Indre-et-Loire (Centre)
On aurait presque cru trouver en lui le «cas» de l’émission, notamment en raison de sa ressemblance avec Popeye, de son débit en accéléré, ou de ses façons de petit garçon. Il y avait aussi les prénoms donnés à ses vaches (Ulla, Câline ou Balladeuse…) ou la déco vachière de la maison (vaches en peluche, figurines de vache, photos de vaches et tableaux de vaches). Mais allez savoir comment (peut-être en expliquant qu’il adore faire le ménage et la vaisselle et qu’au restaurant il offre des fleurs aux serveuses), Jean-Michel marque des points et devient l’un des candidats les plus charmants.

- Si vous avez la phobie des grenouilles, pas des crapauds: Mathieu, le petit jeune de la bande.
28 ans, éleveur de vaches allaitantes et laitières dans le Maine-et-Loire (Pays-de-la-Loire)
A première vue Mathieu avoisine la perfection: «tendre», «sportif», avide de «partage»… Il est simplement «en retard sur le planning» selon sa soeur: tous ses amis sont déjà installés, voire parents. La vraie exigence: n’ayez pas peur des crapauds. Il en a la phobie, s’il en voit, vous devrez les chasser pour lui. (N.B.: Mathieu ne craint en rien les grenouilles. Ne pas confondre).

- Si vous êtes beau: Céline, la courageuse.
33 ans, éleveuse de brebis laitières dans les Pyrénées-Atlantiques (Aquitaine)
Céline frôlait aussi le cas de télé-réalité pathétique. Et M6, dans son communiqué, n’avait pas aidé: «née malentendante, ce petit bout de femme d’1m47 n’a écouté que son courage et sa détermination pour surmonter son handicap». On vous laisse apprécier le jeu de mot. Mais la jeune femme est charmante et exigeante. Elle veut donc un homme «beau», «courageux», «sincère», «bricoleur»… Mais elle est sympa, elle vous laisse le choix de la couleur des cheveux…

– Si vous n’avez rien contre la bouse de vache: Jean-Claude, le passionné.
42 ans, éleveur de vaches laitières et allaitantes en Seine-Maritime (Haute-Normandie)
Il faudra que vous supportiez les échographies de vaches toutes les semaines: et bam, que je t’insère une sonde dans le rectum (de la vache). A part ça Jean-Claude est passionné par son métier, livre son lait et ses oeufs frais, remporte des concours de beauté (oui, de vaches toujours). Et il est très bon cuisinier. En revanche, «niveau culturel, à moi faut pas [lui] en demander de trop» Sinon c’est Claude François et Grégoire («Toi+Moi j’aime bien»).

- Si vous n’êtes pas une plante verte: Benjamin, l’intello des champs.
29 ans, céréalier en Seine-et-Marne (Ile-de-France)
Benjamin a fait des études de compta et une école de commerce. Depuis qu’il a repris l’exploitation de ses parents à leur retraite, il y a quelques mois, il a des projets plein la tête – notamment une maison d’hôte. Il cherche une fille qui ait du répondant,supporte les taquineries, et veuille des enfants. En prime, vous rencontrerez le frère, poète des fromages (il cite Casanova en vous parlant roquefort). Vous pourrez même travailler à Paris, à simplement une heure de là.

– Si vous êtes pompier: Karine, l’agricultrice qui vomit dans le caniveau (mais pas à chaque fois hein).
31 ans, éleveuse de poneys et pension pour chevaux dans le Cher (Centre)
C’est la bonne vivante, fêtarde, qui aime bien aller en boîte et boire des coups. Mais quand elle ne titube pas, elle s’occupe de ses mignons shetlands. Simplement elle ne sait pas trop draguer. (En vrai, ce serait peut-être pas mal que Benjamin et Karine s’écrivent. On envisagera de le suggérer à M6…)

– Si vous n’avez pas peur de confondre votre mari… avec son frère: Benoît, le sportif.
37 ans, éleveur de vaches laitières dans les Vosges (Lorraine)
Benoît a un jumeau – sa copie conforme. Très original, il a fait la blague de se faire passer pour lui lors de la première émission. Il vous faudra donc sans doute composer avec un humour subtil.

- Si vous aimez les hommes qui pleurent: Raymond, le FILF.
50 ans, éleveur de vaches, taureaux, chevaux, chiens dans l’Ariège (Midi-Pyrénées)
Raymond n’a pas peur de ça, les hommes qui pleurent. Il n’a pas peur non plus des comparaisons audacieuses, lui qui compare les mules au GIGN. «Parce que ça a l’air comme ça endormi, et en une demie-seconde ça se réveille». Bah oui, c’est exactement comme ça qu’on aurait décrit le GIGN…
Vous pouvez aussi écrire à Raymond si vous êtes belle, parce qu’il se dit intéressé par le physique. Et puis si vous n’avez pas peur d’être belle-mère: vous devrez composer avec Pauline, 17 ans.

– Si vous êtes moche: Loïc, l’homme ouvert d’esprit
46 ans, éleveur de vaches laitières en Ille-et-Vilaine (Bretagne)
Loîc n’est pas mal du tout, mais il n’a aucun critère physique. Donc si vous êtes moche, vous avez vos chances. Tout ce qu’il demande, c’est une femme qui n’ait pas «le regard dur». Et que vous supportiez sa mère, octogénaire, chez qui il mange midi et soir.

Si vous êtes Karine LeMarchand: Didier, le Giuseppe de M6
46 ans, viticulteur et maraîcher dans l’Hérault (Languedoc-Roussillon)
Didier est du genre à dire: «C’est beau une femme. C’est spécial mais c’est beau. Ca pense pas comme nous», et aussi «Je domine. C’est moi l’homme». Sa femme idéale, c’est Karine Le Marchand. Donc si vous lui ressemblez et que vous aimez le sexe («c’est vital, ça fait 60 à 70% du bon couple» selon lui), vous aurez droit à sa fidélité. 

Si vous n’êtes pas trop à cheval sur la prononciation du français: Philippe, le sociable.
46 ans, céréalier dans le Lot (Midi-Pyrénées)
Il ne prononce pas «tabac» mais «tabak». A part ça Philippe préfère les brunes (est-ce qu’ils disent tous ça à cause de Karine?). A noter: il faudra sans doute l’emmener faire du shopping, il attend depuis quelques années que sa future compagne s’en occupe…

Source 20Minutes


Merci Hadopi : MegaUpload en plein boom en France depuis Hadopi 2

Posted on janvier 5th, 2011 in Informatique by obi3fr

La loi sauvera-t-elle la création en France ? En tout cas, elle accompagne l’évolution des usages des internautes français. Selon les mesures de ComScore, l’arrivée de ce texte de loi a donné un coup d’accélérateur au direct. MegaUpload a attiré pas moins de 7,4 millions d’internautes uniquement pour le mois de novembre 2010.

On ne sait pas encore si la loi Hadopi va soutenir la création en France, mais elle aura au moins aidé des services qui proposent des solutions plus rapides et moins exposées que le peer-to-peer pour les pirates. Alors que le portail Allostreaming a signé la plus forte progression sur Google en 2009, de nouvelles mesures montrent que les services de téléchargement direct ont le vent en poupe dans l’Hexagone.

L’organisme de statistiques ComScore a transmis à nos confrères du Figaro des informations sur l’audience française de MegaUpload. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle se porte à merveille. Pour le mois de novembre 2010, pas moins de 7,4 millions d’internautes français se sont rendus sur l’hébergeur. Il y a deux ans et demi, en août 2008, MegaUpload n’attirait « que » 350 000 Français.

L’explosion de la popularité de MegaUpload ne s’est pas produite par hasard. Ce sont les débats parlementaires sur le piratage des œuvres culturelles numérisées sur Internet et les moyens de répression choisis pour y mettre fin qui ont poussé de nombreux internautes adeptes du téléchargement illicite à se détourner des réseaux peer-to-peer pour migrer sur des solutions moins exposées.

En effet, la société désignée pour collecter les adresses IP des internautes téléchargeant des fichiers piratés, TMG, ne peut pas intervenir sur les services de téléchargement direct ou de streaming. Ce n’est ni possible techniquement ni légalement. Nombreux sont les internautes à l’avoir compris, au regard des statistiques fournies par ComScore.

Le décollage de MegaUpload en France, entre août 2009 et novembre 2009, est survenu au moment même où les deux lois Hadopi ont été promulguées par Nicolas Sarkozy. En effet, la première l’a été le 12 juin 2009 et la seconde le 28 octobre 2009. Même des personnalités françaises téléchargent depuis cette plate-forme, à l’image de Thierry Lhermitte, pourtant actionnaire de TMG.

En mars 2010, une étude menée conjointement par le laboratoire M@rsoin et l’université de Rennes avait perçu cette évolution dans les usages. Si la part des utilisateurs sur les réseaux peer-to-peer comme BitTorrent a baissé, le nombre d’internautes optant pour des solutions techniques de piratage ignorées par la Haute Autorité, comme le streaming, le VPN, les newsgroups ou le téléchargement direct, a augmenté de 27 %.

Source Numerama


Cambriolé à cause de Twitter, Michaël Youn n’est pas une exception

Posted on janvier 5th, 2011 in Sécurité by obi3fr
Michaël Youn a peut-être été cambriolé à cause des nombreux indices qu’il a laissés sur .  Un fait divers qui n’est pas isolé et inquiète d’ailleurs les compagnies d’assurance.

Sur Twitter, Michaël Youn avait posté une photo qui permet d'identifier son adresse

Sur Twitter, Michaël Youn avait posté une photo qui permet d’identifier son adresse.

Si l’affaire s’est finalement bien terminée, Michaël Youn ayant retrouvé son Hummer et ses effets personnels, le cambriolage du comique relance le sujet du déversement volontaire et néanmoins abusif de données personnelles sur le Net. Ce n’est en effet pas nouveau, on a tendance à trop en dire sur soi, particulièrement sur Twitter et sur .

Preuve que le sujet est une préoccupation grandissante, la compagnie d’assurance britannique Legal & General a étudié le sujet en 2009. Conclusion : 38 % des internautes publient des informations sur leurs vacances à venir. « Associé au fait qu’une proportion alarmante d’utilisateurs sont prêts à devenir virtuellement “amis” avec des gens qu’ils ne connaissent pas vraiment, c’est un risque sérieux pour les biens de ces personnes », explique l’assureur.

Google Map, Facebook et Twitter, amis des cambrioleurs

Statuts Facebook, photos personnelles, numéro de téléphone, adresse postale et,  de plus en plus, géolocalisation… Notamment grâce aux sites qui agrègent les informations privées glanées sur la Toile, il est de plus en plus aisé pour les internautes mal intentionnés et un brin habiles du clavier de savoir qui se trouve où et quand. Que l’on soit quidam ou célébrité. Récemment, Paris Hilton, Lindsay Lohan ou Orlando Bloom, trois « twitteurs-maniac », en ont fait l’amère expérience, se faisant cambrioler alors qu’ils avaient annoncé sur le site de micro-blogging être hors de chez eux.

Pour l’heure, difficile de dire si les voleurs de Michaël Youn s’étaient servi des informations que le comique avait distillées sur Twitter. Mais pour rappel, le 25 décembre, il avait, ironie du sort, posté ce message « Avis aux cambrioleurs et à Voici : nous allons sortir vers 21 h 30 ». Quelques semaines plus tôt, il avait posté une photo prise de sa fenêtre, qui avait facilement permis à un internaute d’identifier (et de partager) son adresse précise. Le 31 décembre, sa compagne, Isabelle Funaro, avait posté une photo depuis Megève, où le couple était en vacances…

Autre ironie de l’affaire, c’est sans doute grâce à Twitter que Youn a pu retrouver le véhicule et les objets personnels qui lui avaient été dérobés. Pour le coup, c’est une vraie exception.

Source FranceSoir


10 choses que « Qui veut épouser mon fils ? » nous a appris sur les femmes

Posted on janvier 5th, 2011 in TéléRéalité by obi3fr

QVEMF
Parfois pour faire un état des lieux de la condition féminine en France, il n’est pas utile d’aller écouter une conférence d’experts. Une émission TF1esque peut nous en apprendre plus. 10 petites choses que QVEMF nous a permis d’apprendre sur les femmes:

1/ Les femmes violentées l’ont bien cherché
Giuseppe menace explicitement Audrey en lui disant « Sinon, ça va mal aller… » puis en faisant signe de lever la main sur elle. Pour la défendre, nulle solidarité féminine: Samira affirme qu’elle n’avait qu’à pas « provoquer un macho » et la mère de Giuseppe qu’elle « ne sait pas le prendre. »  Juste pour mémoire, une femme meurt chaque jour sous les coups de son conjoint.
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: ton mari te bat ? Ok, mais tu l’as peut-être cherché: avais-tu bien mis la table ?

2/ Pour être aimée, ne soit pas trop diplômée
Nulle chercheuse en biologie, nulle docteur en anthropologie, nulle professeure, nulle mathématicienne, nulle auteure de Prix Goncourt: QVEMF repasse au contraire en boucle la tirade de Sarah se présentant « Je suis secrétaire médicale » en illustration de la voix off affirmant qu’elle est « la belle-fille idéale ».
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: si tu es intelligente, cache-le derrière un kilo de sillicone.

3/ Mi-pute, mi soumise ?
Toutes celles qui « couchent » (Clara, Charlotte, Cindy, Angélique) ou jouent sur le registre du sexe sont éliminées dans l’étape suivante. D’ailleurs Giuseppe le confirme: « Une fille sexy c’est pour une nuit, pas pour se marier. » Du côté d’Alban, c’est la même chose – sauf qu’aucune candidate ne veut coucher avec lui d’après ce qu’en dit le montage
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: couche mais ne t’étonne pas de te faire larguer après. Bitch.

4/ Une bonne mère est incestueuse
Les mères du programme sont présentées comme de très bonnes mères, fusionnelles, folles d’amour filial pour leur fils. Pour ma part, je ne peux pas m’imaginer aller parler préférences sexuelles de mes enfants avec eux, ni évaluer avec eux qui pourrait être un « coup d’un soir ». N’importe quel psy trouverait ça pire que malsain. « T’inquiète pas Alban, hier Jessica elle a fait une pirouette sur le lit elle doit y aller… » est-ce vraiment la phrase d’une mère qui remplit son rôle, à savoir éduquer ses enfants pour leur permettre de devenir des adultes et de vivre par et pour eux-mêmes ?
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: as-tu roulé une pelle à ton fils pour lui souhaiter bonne nuit ? non ? mauvaise mère !

5/ La beauté est une notion suggestive
La mère de Florent proclamant que son fils est « le plus beau de Marseille », c’est hilarant (et je ne dis pas ça parce que j’ai épousé un Marseillais). Ajouter qu’il a « du charisme » alors qu’il a le regard d’une huître, et conclure par « je suis moi-même très belle » … Giuseppe affirmant que Karyn a « un visage parfait » et Florent s’extasiant sur Jessica, dont on va être gentil et ne rien dire ici. D’ailleurs, le seul critère de beaucoup des mères est « qu’il épouse une belle femme ». Sans doute ont-elles été très belles à un moment, mais il est étrange que des femmes loin d’être des canons de beauté focalisent à ce point sur l’apparence. Elles devraient au contraire être bien placées pour savoir que la beauté s’en va, et quand elle est partie, que reste-t-il ? (c’est beau on dirait du Cabrel)
Ce que la téléspectatrice doit comprendre
: aie une beauté discrète ou a maxima, la beauté de « la plus jolie fille du village » (de trois personnes) moins tu es vêtue, plus tu es « belle ». Si tu es jugée moche par belle-maman, sois prête à te faire refaire les seins.

6/ Malgré que t’as un tic de langage, on va dire
Que Marie-France, la mère de Giuseppe, enchaîne les « malgré que », qu’Alexandre ne cesse de dire « on va dire… » et qu’Alban ne puisse pas s’empêcher de claquer sa langue avec un regard qui pue le cul, pardonnez-moi l’expression, ne choque personne. En revanche, que la voix off dise à deux reprises « malgré que… » lors de la dernière émission permet de se poser des questions sur le niveau, non pas des candidats, mais des éditeurs de l’émission. Et cela remet tout en question: cette façon de présenter les femmes, était-ce vraiment du second degré ?
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: hein quoi qu’est-c’t'as dit ?

7/ La solidarité féminine n’existe pas (ou si peu)
Coups bas (« Samira a mal parlé du père ») sournoiseries (Sarah / Charlotte) ou carrément bagarres (Adeline et Jessica brune -> celle que Florent trouve classe alors qu’elle a fait des bras d’honneurs aux autres filles en criant « biip ») critiques sur le physique de la part des belles-mères… la solidarité féminine semble bien être un mythe. Toutefois, une mention spéciale pour Jessica la blonde qui a la fin « venge » l’humiliation de Lola, autre prétendante éliminée grossièrement par le décidément très distingué Alban.
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: la femme est une louve pour la femme. Be a bitch. N’ai aucun scrupule, sois une moins que rien !

8/ Les femmes présentatrices ne servent à rien
Après Carole Rousseau glaçon dans MasterChef, voici Elsa Fayer pot de fleurs dans QVEMF.
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: les interventions couillues, c’est pour les hommes. Si tu es une femme animatrice, sois belle et tais-toi.

9/ Les repas tu feras
Une obsession pour tous les candidats: que leurs femmes leur fasse la cuisine. Dès le premier rendez-vous, Florent demande aux filles si elles cuisinent, quand on leur demande leur relation de couple idéale c’est « de rentrer avoir ma femme pour manger »… Aucun d’entre eux ne répond « d’avoir des échanges passionnés sur le sens de la vie » ou « qu’on écrive ensemble un roman fantastique » ou encore « faire le tour du monde avec elle ».
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: va faire les courses. Et dépense bien de l’argent pour aller ensuite faire les repas.

10/ Toutes des garces, sauf maman (et encore)
Ces garçons sont donc obsédés par leur mère, certains allant jusqu’à dormir avec elles (le cododo à trois mois pourquoi pas, à trente ans ça devient un peu compliqué…) se faire caresser par elles en caleçons, et affirmer franchement « Je cherche une femme comme maman ». Giuseppe n’hésite pas à passer un anneau au doigt de sa mère, celle-ci commentant d’un « Depuis le temps que j’attends que mon fils m’épouse » qui ferait se retourner Freud dans sa tombe.
Ce que la téléspectatrice doit comprendre: Tu ne veux rien comparée à ta belle-mère. Sens toi mal dans ta peau. Complexe. Consomme.

Pour l’an prochain, je propose qu’on la rebaptiste « Je veux épouser mon fils ! » ou « Qui veut éduquer mon fils ? » Et je me ferais un plaisir de jouer à la Super Nanny avec cette bande de goujats – et avec leurs mères au passage, les chiens ne faisant pas des chats !


Les fans de Lost gagnent au loto

Posted on janvier 5th, 2011 in Séries by obi3fr

4 8 15 16 23 42 : cette série de nombres bien connue des fans de la série a encore fait parler d’elle hier.

Pour ceux qui n’auraient jamais rencontrés les naufragés d’ABC, il s’agit d’une suite jouée par l’un des personnages, Hurley, à la loterie et qui lui fait gagner le gros lot mais qu’il estime maudite, des choses étranges se passant autour de lui après son gain. Ces nombres apparaissent de diverses manières tout au long des épisodes de la série, faisant naître une véritable mythologie pour les fans. Le fictionnel est un peu devenu réel, puisqu’hier soir à MegaMillions, un loto américain, la suite d’Hurley est sortie à deux chiffres près, faisant ainsi gagner 150 dollars aux 9 000 fans ayant joué la fameuse série.

Faut-il commencer à avoir peur ? : )

Source LeBlogDuModerateur


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