MegaUpload conseille de quitter Orange pour SFR ou Free

Posted on janvier 14th, 2011 in Informatique by obi3fr

En proie à des lenteurs importantes avec des sites comme MegaUpload, les abonnés Orange ont depuis hier la joie de voir apparaître un message très explicite du fameux site de . Ce dernier explique ainsi la situation et les rapports entre Orange et les fournisseurs de transit Cogent et Tata.

MegaUpload lenteurs Orange message

Mieux encore, MegaUpload incite les abonnés touchés par ces lenteurs abominables de contacter le service client d’Orange, voire tout bonnement de changer d’opérateur et d’aller voir du côté de SFR, Free ou Alice, qui n’ont pas ces problèmes de débits (sauf parfois à certaines heures bien précises, le soir en général).

Pour rappel, depuis plusieurs années maintenant, les Orangenautes ont d’énormes problèmes de connexion avec certains sites, et en particulier avec YouTube, MegaUpload et Megavideo. S’il y a eu quelques améliorations du côté de YouTube, ce n’est néanmoins pas le cas concernant MegaUpload et MegaVideo.

Or ce dernier, notamment avec la migration impliquée par , connaît une croissance importante depuis quelques mois. Sachant que les abonnés Orange représentent quasiment la moitié des abonnés en France, la situation actuelle est donc une perte énorme en visiteurs (et en euros…) pour MegaUpload. D’autant que la France n’est pas le seul pays concerné, les abonnés espagnols chez Orange subissant les mêmes tracas.

Nous attendons une réaction officielle de la part d’Orange.

Source PCImpact


L’astrologie s’emmêle les signes

Posted on janvier 14th, 2011 in News by obi3fr

Vous vous pensiez balance, vous êtes scorpion. La faute à l’interaction gravitationnelle des astres qui a provoqué un mois de décalage dans l’alignement des étoiles. Et Madame Soleil n’avait rien vu venir.

Les mouvements célestes ont modifié la position relative du Soleil, de la Terre et des constellations explique un chercheur américain au journal  StarTribune.com. La nouvelle a semé la pagaille vendredi 14 janvier dans le petit monde de l’astrologie mis au point par les Babyloniens : en quelque 3.000 ans, un décalage d’environ un mois s’est opéré entre la position d’une constellation et le signe du zodiaque qui lui correspond. Les diseuses de bonne aventure ne savent plus à quelle étoile se vouer.

Le nouveau calendrier

L’organisation The Minnesota Planetarium propose donc ce nouveau calendrier, avec un nouveau signe : Capricorne: du 20 janvier au 16 février. Verseau: du 16 février au 11 Mars. Poissons: du 11 mars au 18 avril. Bélier: du 18 avril au 13 mai. Taureau: du 13 mai au 21 juin, Gémeaux: du 21 juin au 20 juillet; Cancer: du 20 juillet au 10 août. Lion: du 10août au 16 septembre Vierge: du 16 septembre au 30 octobre. Balance: 30 octobre au 23 novembre. Scorpion: 23 novembre au 29 novembre. Serpentaire (nouveau signe): 29 novembre au 17 décembre. Sagittaire: du 17 décembre 20 janvier.
Si vous êtes né un 21 juin, The Minnesota Planetarium ne précise pas si vous êtes Taureau ou Gémeaux. Allez-vous pouvoir choisir ?

Source Nouvelobs.com

C’est le drame … vlatipas que je deviens capricorne … l’horreur :-)


A tous les fans du Coca light …

Posted on janvier 14th, 2011 in News by obi3fr

Les boissons « light » et l’aspartame pointés du doigt

Les édulcorants chimiques, souvent épinglés, provoqueraient des naissances avant terme chez les femmes et des cancers chez les souris mâles, selon deux études récentes dont les scientifiques du Réseau environnement santé (RES) se font l’écho.

L’Association Internationale des Edulcorants (ISA/AIE), pour sa part, « conteste la validité scientifique de ces deux études et rappelle que l’aspartame constitue l’un des produits alimentaires les mieux étudiés dans le monde ».

L’aspartame, édulcorant le plus utilisé au monde (Canderel, Nutrasweet…), se retrouve dans plus de 6.000 produits, du chewing-gum aux boissons light, dont plus de 500 produits pharmaceutiques. Selon le RES, 200 millions de personnes en consommeraient « régulièrement ».

Chez les enfants et les femmes en âge de procréer, l’absorption quotidienne est estimée à 2,5 à 5 mg par kg de poids corporel. La dose journalière admissible établie par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) est de 40 mg/kg.

L’étude, conduite par le Danois Thorhallur Halldorsson, sur près de 60.000 Danoises enceintes, est parue fin 2010 dans l’American journal of clinical nutrition. D’après cette étude, la consommation d’au moins une boisson gazeuse contenant un édulcorant augmente en moyenne de 38% les risques de naissance avant terme. L’augmentation des risques est de 27% si l’on n’en boit qu’une par jour, 35% si l’on en boit 2 ou 3, 78% quand c’est plus de 4…

L’impact est moindre avec les boissons non gazeuses, l’augmentation du risque allant de 11 à 29%. Il est vrai qu’elles comportent, selon les chercheurs, 2 à 3 fois moins des deux édulcorants principaux (aspartame surtout et acesulfame-K, parfois associé) que les boissons gazeuses, étant en revanche plus riches en cyclamate et saccharine.

« Ce ne sont pas des produits anodins (…) pourquoi ne prend-on pas de précaution pour la femme enceinte alors qu’on a des études qui montrent un effet ? », demande Laurent Chevallier, médecin nutritionniste CHU de Montpellier et responsable de la commission alimentation RES.

Etonné par « l’absence de réaction des pouvoirs publics », il estime qu’on pourrait apprendre à se passer de ces produits qui n’ont rien d’indispensable.

Publiée il y a quatre mois dans l’American Journal of industrial medicine, une étude du chercheur italien Morando Soffritti, de l’Institut Ramazzini de recherche en cancérologie environnementale, corrobore quant à elle deux études antérieures menées sur les impacts de l’aspartame chez les rats.

D’après l’étude italienne, cet édulcorant élève les risques de cancers du foie et du poumon chez 240 souris mâles, exposées de la gestation à la mort. En revanche, ces risques n’apparaissent pas augmentés chez les femelles.

Fin 2009, l’EFSA, compétente dans l’évaluation pour les pays européens des additifs alimentaires, à contesté la méthodologie des études antérieures conduites par le Dr Soffritti, et a estimé que rien n’indiquait « un quelconque potentiel génotoxique ou carcinogène » après exposition in utero.

Pour le RES, ces critiques ne sont « pas fondées ». « Est-ce qu’on attend que les études sur les rongeurs soient vérifiées chez l’homme ? », demande André Cicolella, son président.

L’Anses (Agence française de sécurité sanitaire alimentation/environnement) a indiqué mercredi qu’elle allait « examiner sans délai ces nouvelles études en vue d’éventuelles recommandations aux autorités françaises » et, le cas échéant, une saisine de l’EFSA.

Source LeNouvelObs